En 2022, vu le prix du timbre, vous n’enverrez plus beaucoup de courrier !
En règle générale, les nouvelles années sont synonymes de nouvelles résolutions… Mais visiblement, La Poste ne partage pas cet avis ! En effet, en 2022, l’enseigne emblématique chargée du courrier en France compte bel et bien augmenter, une fois encore, les prix du timbre. La cause ? Selon elle, le recours au courrier se ferait de moins en moins important. Le tout au détriment… du digital. Allez, on vous explique tout de la plus simple des manières.
>>> A lire aussi : Blague du jour : Une blonde récupère son courrier dans sa boîte aux lettres
Vers un timbre plus cher en 2022
Pour celles et ceux qui utilisent encore le courrier pour échanger avec leurs proches, on peut comprendre votre peine. En effet, ce samedi 1er janvier sera évidemment synonyme de nouvelle année : 2022. Mais attention, tout ne s’annonce pas tout rose pour autant. La Poste a même déjà pris les devants…
Ainsi, le timbre verra ses prix augmenter de manière assez conséquente en fonction de son degré d’utilisation par les citoyens français se rendant régulièrement à La Poste. Au total, le prix de ce petit objet, qui peut sembler anodin au premier abord, va s’élever de 4,7 % à partir du premier jour de cette nouvelle année 2022. De ce fait, une lettre prioritaire coûtera désormais 1,43 euros, une lettre verte, elle, 1,16 euros, tandis qu’une lettre recommandée atteindra… les 4,55 euros.
>>> A lire aussi : La Poste : combien de timbres coller sur votre enveloppe ? On vous répond !
La Poste veut pérenniser son service de courrier
La question est alors légitime d’être posée : pourquoi La Poste a-t-elle voulu augmenter les prix de son timbre ? Rien de plus simple, finalement. En effet, l’objectif est tout simplement de pérenniser l’utilisation de ce petit bout de papier qui, depuis l’apogée du téléphone et des moyens digitaux, ne cesse de connaître un certain recul. Il faut le dire : c’est un sacré risque à prendre !
>>> A lire aussi : Smic, prix du timbre, contraception : Ce qui change au 1er janvier 2022