SPA : ce couple demande à adopter un chien mais avec une condition lamentable !
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Ce jour-là, la SPA d’Annecy-Marlioz reçoit la visite d’un couple qui vient juste d’apprendre la nouvelle du confinement. À première vue, ils sont là pour adopter un chien mais rapidement, la conversation tourne court. En effet, ils posent une condition absolument insensée et qui va être immédiatement refusée par les bénévoles ! Et quand vous allez découvrir pourquoi, vous ne pourrez qu’être écœurés par ce comportement !
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SPA : l’adoption d’un chien sous certaines conditions
La semaine dernière, la SPA d’Annecy-Marlioz reçoit un couple qui demande à adopter un chien. Quelques heures plus tôt, la France entière vient d’apprendre une période de confinement de minimum 15 jours pour limiter la propagation du coronavirus. Et c’est d’ailleurs la raison de la venue soudaine de ce couple.
Mais rapidement, la conversation tourne court… En effet, ils font une demande absolument insensée et qui choque les bénévoles. Car derrière ce geste apparemment magnanime se cache en réalité une raison bien plus sombre et égoïste. En effet, le couple souhaite plutôt « emprunter » un chien durant toute la période de confinement plutôt que de l’adopter durablement…
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Fin de non-recevoir
Quand la SPA d’Annecy-Marlioz découvre les motivations profondes de ce couple venu adopter un chien, elle fait immédiatement marche arrière. En effet, les conditions énoncées sont parfaitement claires : « emprunter » un chien pour lui permettre de se dégourdir les pattes plus régulièrement. Ainsi, cela permettra également aux maîtres de pouvoir faire quelques balades de manière à pouvoir gérer le confinement. Il ne s’agit donc pas d’une adoption mais bien d’une location !
Évidemment, les bénévoles ont immédiatement refusé cette demande aussi absurde qu’insensée. Insensée, mais qui en dit long sur le rapport de certaines personnes aux animaux… En revanche, et pour terminer sur une bonne nouvelle, le refuge affirme que depuis le début de la crise, il n’a pas constaté plus d’abandons que d’habitude.
