Hallucinant : cet homme raconte comment il avait des relations sexuelles avec un dauphin qui lui « faisait des avances » (vidéo)
Une relation avec un dauphin
En 2010, le journaliste et écrivain Malcolm J. Brenner a défrayé la chronique à la publication de son roman « Wet Goddess » (= La Déesse humide). Et pour cause, le livre était particulièrement controversé. Celui-ci documentait l’histoire d’amour entre Brenner et un dauphin. L’auteur du livre a expliqué que l’histoire était autobiographique et que sa relation avait duré environ 7 mois, lorsqu’il était étudiant en deuxième année au New College de Floride à Sarasota. Zoophile, il avait alors entamé une relation avec un dauphin femelle baptisé Dolly dans les années 1970. Oui, il avait des relations sexuelles avec elle, et oui, il a expliqué de quelle façon il s’y prenait…
Il « refusait ses avances«
Brenner se défend avant tout d’une quelconque bestialité envers l’animal. Il explique que c’est elle qui lui aurait fait des avances et qui frottait ses parties génitales contre lui. Il ajoute d’ailleurs que lorsqu’il tentait de la repousser, elle était très en colère contre lui. Selon les dires de l’écrivain, elle l’aurait entraîné jusqu’au fond de la piscine une fois où il avait « refusé ses avances« . Mais au fil du temps, Brenner aurait remarqué que Dolly se montrait de plus en plus gentille avec lui. Ce qu’il avoue avoir trouvé particulièrement « érotique« . Ils furent séparés lorsque le cétacé fut envoyé dans un autre océanarium et que lui entra à l’Evergreen State College de Washington.
Une histoire à dormir debout
Brenner se tenait à la verticale et le dauphin à l’horizontale pour faire leurs affaires. Mais comme le précise l’experte en dauphin Denise Herzing : « glorifier les interactions sexuelles humaines avec d’autres espèces est inapproprié pour la santé et le bien-être de l’animal. Il met en péril la santé et le comportement social du dauphin« . Quant à Brenner, il n’est pas d’accord et se défend d’avoir de « tendres émotions » envers ces animaux. Il pense d’ailleurs que ce comportement zoophile vient des abus physiques et sexuels qu’il avait subi par le psychologue Albert Duvall étant plus jeune. Et nous, on n’en pense pas grand chose de tout ça…