Selon une récente étude, les personnes qui possèdent un chien sont plus heureuses que celles qui n’en ont pas !
Qui en doutait ? Alors que nous apprenions récemment quelle race de chiens vit le plus longtemps… Nous apprenons aujourd’hui, grâce à une récente étude, que les chiens ont un impact positif sur la vie de leurs maîtres !
Des bienfaits dont seraient également en mesure de profiter les propriétaires canins en situation de handicap. Et ce, sur le double plan social et mental !
Les chiens rendraient leur maître heureux !
Un chien, cela vous change la vie, notamment lorsque l’on les voit jouer au Uno. Et ce ne sont pas les propriétaires canins qui diront le contraire ! De plus, une étude dont les résultats viennent d’être dévoilés en apporte également la confirmation.
Réalisée au Royaume-Uni auprès de 2004 adultes, cette enquête a été réalisée par More Than Insurance, une compagnie d’assurances pour animaux de compagnie. Mais aussi par UK Charity Dogs for Good, une association de protection animale. Sa publication a eu lieu dans la semaine du 9 au 15 mai, alors qu’a lieu la Semaine de sensibilisation à la santé mentale en Grande-Bretagne.
Le sondage révèle ainsi que les individus qui possèdent un chien ont 69% d’interactions significatives en plus si on les compare à ceux sans canidé. Ce qui contribuent grandement à améliorer l’humeur générale. On apprend également qu’un propriétaire de chien sur 3 dit se sentir moins seul lorsqu’il promène ce dernier.
Un impact très positif sur les personnes porteuses de handicap
L’étude révèle, par ailleurs, qu’avoir un chien a un impact positif sur les personnes en situation de handicap. En effet, ces dernières affirmeraient avoir en moyenne de 11 conversations par mois, contre seulement 3 pour celles qui ne possèdent pas de chien. 81% des propriétaires de chiens estiment que ces échanges sont obtenus grâce à leur animal de compagnie.
Ils sont également 52% à affirmer qu’ils ont pu développer des relations d’amitié profondes avec des personnes rencontrées lors d’une balade avec leur chien. Seuls 5% des adultes handicapés sans compagnon canin ont pu établir de telles relations.