L’association L214 dévoile des images chocs sur un élevage de l’entreprise Herta
Cette fois-ci, l’association L214 dénonce un élevage situé dans le département de l’Allier et qui s’avère être le principal fournisseur de la marque Herta. Avec des images chocs de maltraitance animale, elle a décidé de porter plainte pour « tromperie du consommateur. » Découvrez les conditions effroyables réservées à ces animaux justes ici :
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L’association L214 dénonce un élevage de l’entreprise Herta
« Herta nous ment tout simplement. Là, c’est une vraie tromperie. On fait croire que les animaux sont élevés dans des bonnes conditions, on utilise même le mot respectueux, alors que la réalité, est objectivement à des lieues de cette image jolie, idyllique, que veut nous vendre la marque » déclare l’association L214. Et il faut dire que sur la vidéo, les images ne manquent pas de choquer !
Maltraitance animale sous forme de promiscuité, cannibalisme, antibiotiques périmés, mort des bébés piétinés par les truies… Des conditions absolument effroyables et qui contrastent d’autant avec l’image magnifiquement belle et reluisante du premier fournisseur des Français.
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« Herta, le (dé)goût des choses simples »
Sur le site de la marque Herta, cette dernière prétend avoir opté pour la « Filière Préférence », une filière qui vise à améliorer les conditions animales ainsi que les pratiques d’élevage. Ainsi, l’entreprise promet un goût inimitable pour « un véritable plaisir ! » Mais visiblement, le plaisir s’arrête là où la vidéo de l’association L214 commence. « Le travail de l’éleveur consiste justement à ramasser les cadavres des porcelets (…). Voilà c’est quelque chose qui est très froid. C’est un élevage qui est très rationalisé dans sa productivité. »
On est donc bien loin du vert pâturage et du bien-être animal. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, les bénévoles de l’association ont décidé de déposer plainte pour « tromperie du consommateur. » Quant aux principaux intéressés, il faut savoir que le directeur général de la marque a déjà contre-attaqué en supposant que les images faisaient l’objet d’un montage visant à la propagande de l’association. « On verra ce qui est conforme et ce qui est lié à des montages et, s’il y a des déviations, on prendra des actions qui s’imposent.» Espérons que l’opinion publique s’en mêle et qu’elle décide de se détourner de la marque.
Source : Le Parisien