Atroce ! Un chien est dévoré par ses congénères dans un élevage illégal
C’est une scène absolument atroce que la police municipale de Villepinte découvre dans cet élevage illégal de Tremblay-en-France. Ce jour-là, un chien est dévoré par ses congénères qui meurent littéralement de faim. Immédiatement, la Fondation 30 millions d’Amis intervient avec une plainte déposée pour actes de cruauté. Découvrez les images de ce pauvre toutou dans la vidéo ci-dessous :
>> À lire aussi : Images choc ! Affamés, ces lions sont en train de mourir dans un parc animalier du Soudan
Un chien est dévoré par ses congénères
À Tremblay-en-France, c’est une scène absolument atroce qui se déroule en toute illégalité. En effet, ce jour-là, un chien est dévoré par ses congénères qui meurent de faim. Alertés par les aboiements, les voisins appellent immédiatement la police municipale de Villepinte qui sera suivie par la police nationale. Sur place, ils découvrent un doberman éventré et qui gît dans son sang. Encore vivant, ils tentent de le faire soigner par des vétérinaires qui refusent, pourtant, de se déplacer.
Malheureusement, la pauvre bête finira par mourir de ses blessures. Immédiatement, la Fondation 30 millions d’Amis réagit pour prendre l’affaire en main. « L’effet de meute a conduit ces chiens à attaquer l’un des leurs. Le fait qu’ils aient été affamés a certainement joué un rôle important dans leur comportement. » Sur place, ce sont 22 chiens squelettiques avec 4 cadavres dans des sacs-poubelle dont 1, en décomposition…
>> À lire aussi : Un foie gras médaillé d’or au concours agricole épinglé par la L214
Une plainte déposée par la Fondation 30 millions d’Amis
Lorsque la Fondation 30 millions d’Amis apprend qu’un chien est dévoré par ses congénères dans un élevage illégal, elle se rend immédiatement sur place. Rapidement, elle prend en charge les 22 chiens restants pour les transporter dans un refuge et les faire soigner. Ils souffrent notamment de malnutrition avec pour certains, des maladies de peau.
« Ce sont des chiens qui ne savent pas marcher en laisse, car ils ne sont probablement jamais sortis. Mais ils ne présentent aucun signe d’agressivité envers l’homme, et ils se montrent même très gentils ! » En parallèle, Arnauld Lhomme, responsable de l’association a décidé de déposer une plainte pour actes de cruauté contre le suspect qui est actuellement placé en garde à vue.