Quand vous saurez ce que font ces chiens devant cette porte, vous aurez les larmes aux yeux….
Ces chiens témoignent d’un véritable amour à leur maître SDF. Et c’est une histoire que le personnel de l’hôpital régional Alto Vale du Brésil n’est pas prêt d’oublier.
Ces chiens témoignent d’un véritable amour à leur maître SDF
La semaine dernière, Cris Mamprim est de garde de nuit à l’hôpital régional Alo Vale du Brésil. Ce soir-là, il voit débarquer César un SDF. Venu pour suivre son traitement médicamenteux, il est pris en charge par le personnel qui l’interroge sur ses antécédents médicaux. Et pendant ce temps-là, ils se rendent soudain compte que César n’est pas venu seul.
En effet, devant la porte de l’hôpital, ce sont ces quatre chiens qui attendent de patte ferme, très inquiets au sujet de leur maître SDF. Cette image est à la fois impressionnante et touchante et montre à quel point l’amour qui les lie à leur maître est sincère. « Les voir comme ça, attendre à la porte, montre seulement à quel point ils sont soignés et aimés, » explique Cris Mamprim.
Un amour inconditionnel pour ses chiens
En effet, César explique un Chris qu’il a toujours mis un point d’honneur à bien s’occuper de ses chiens. Il estime d’ailleurs qu’ils sont sa seule famille et qu’il se doit de les garder en meilleure santé possible. Voilà pourquoi il préfère se priver de manger pour leur offrir sa ration alimentaire. Et ce soir-là, lorsque César a pu enfin retrouver ses chiens, ce fut une explosion de joie et de tendresse.
Afin qu’il se remette du traitement qu’il venait de suivre, le personnel lui a donc donné à manger, mais également à ses chiens. Et, prévoyant, César en a mis de côté de manière à ce que ses fidèles compagnons puissent être nourri à leur faim dans les jours qui suivent.« Croyez-moi, il en a mangé et en a économisé un peu pour donner les chiens plus tard », déclare Cris. Et il ajoute, « je ne sais pas à quoi ressemble sa vie, ni pourquoi il est dans la rue, mais j’admire le respect et l’amour qu’il a pour ses petits animaux […] Si seulement tout le monde était comme ça. »