Violences, menaces au couteau : chaos total dans une classe de CP-CE1, les parents d’élèves très inquiets !
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Dans l’Eure, les parents d’élèves d’une classe de CP-CE1 tirent la sonnette d’alarme. Menaces, insultes, jets de projectiles… : la situation est « hors de contrôle« . Plus d’infos dans la suite de cet article !
Des faits de violence dans une classe de CP-CE1…
Situation alarmante à dans une école primaire de Saint-Eloi-de-Fourques, dans l’Eure. Cette petite commune rurale de 570 habitants vit une période difficile et fait face à des faits de violence scolaires. En effet, les parents d’élèves d’une classe de CP-CE1 alertent et demandent de l’aide à la Direction académique du département pour trouver une solution face au problème. « Dans la classe de CP-CE1, ce sont des violences, des insultes, de plusieurs enfants. (…) Des institutrices se font frapper et insulter, la classe est hors de contrôle…« , explique avec consternèrent Denis Szalkowski, maire du village.
Natacha Vicompte, représentante des parents d’élèves, a expliqué que la situation était extrêmement inquiétante et que les élèves de cette classe avait déjà accumulé beaucoup de retard sur le programme scolaire…
@paris-normandie
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Un élève problématique ?
La Direction des services départementaux de l’Education nationale de l’Eure affirme « être dans le dialogue et la co-construction d’une solution« . Selon elle, un élève en particulier serait à l’origine de la violence qui règne dans cette classe de CP-CE1. Cet élève, d’après les informations, pourrait avoir des difficultés médicales ou psychologiques et pourrait avoir une mauvaise influence sur quelques camarades. Néanmoins, ni les parents ni la commune ne souhaitent son exclusion et dénoncent un problème de « prise en charge« .
Face à une situation qui semble sans issue, les parents d’élèves et le maire prévoient notamment de bloquer l’école le 12 mars pour mettre en alerte la direction académique. Ces derniers sont dans un flou total. « On ne sait pas si nos enfants auront école lundi matin. La maîtresse est en arrêt. (…) Aucune solution ne nous a été apportée depuis le début de l’année par l’inspection académique« , déplore la mère d’un enfant.
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