Retour à la vie normale : Jean Castex estime une date de sortie de la crise !
Jean Castex a pris la parole le jeudi 7 janvier, au côté d’Olivier Véran lors d’une conférence de presse. Il a évoqué la situation sanitaire et le constat n’est pas bon. Toutefois, le Premier ministre s’est montré optimiste avec le début des vaccinations et a estimé une date de sortie de la crise sanitaire.
A lire aussi : Réouverture des restaurants, bars, cinémas, théâtres : La mauvaise nouvelle annoncée par Jean Castex !
Jean Castex : il envisage une date de sortie de crise
Jeudi 7 janvier, nouvelle conférence de presse pour Jean Castex et Olivier Véran sur la crise du Covid-19. Alors que la campagne de vaccination a pris un nouveau tournant, Jean Castex a souhaité donner un horizon aux Français. Le Premier ministre a dit espérer « sortir de la crise à l’échéance de l’été prochain » , une date de retour à la vie normale également évoquée par la mère des vaccins (voir ici). 2021 est une nouvelle phase dans la lutte contre le virus : « Une phase nouvelle de la lutte contre la pandémie s’est ouverte et je ne doute pas de notre succès collectif » .
Le gouvernement n’a toutefois pas exclu d’ajouter de nouvelles mesures si la situation sanitaire continue à s’envenimer notamment avec les conséquences du Nouvel An et avec les variants du virus. Toutefois, ce jeudi soir, Jean Castex n’a pas annoncé de nouvelles restrictions mais plutôt que tous les établissements fermés jusqu’ici le resteront jusqu’à au moins la fin du mois. Pour les bars et restaurants, ce sera même jusque mi-février.
La campagne de vaccination s’accélère
Dans l’immédiat, le prochain durcissement envisagé est d’étendre à dix nouveaux départements l’avancement du couvre-feu à 18 heures à partir de dimanche 10 janvier. Jean Castex a également annoncé que dès le 18 janvier les plus de 75 ans hors Ehpad pourront se faire vacciner. Les centres de vaccination vont être multipliés. Olivier Véran a précisé que de 100 aujourd’hui, la France passerait à 600 à la fin du mois de janvier. Il a également précisé que si nécessaire la deuxième dose du vaccin Pfizer pourrait être injectée jusqu’à six semaines après la première au lieu de trois.
A lire aussi : Couvre-feu à 18h : la liste des départements qui pourraient basculer