En Oregon, une femme découvre un ver dans son oeil !
Dans l’Oregon, une femme s’est vue infectée par un ver présent dans son œil ! Les images disponibles dans notre vidéo sont répugnantes.
Une histoire peu commune…
C’est en effet la première fois depuis de nombreuses années que ce genre de parasite touche l’être humain. Abby Beckley, une jeune femme vivant dans l’Oregon, était un jour allée pêcher dans l’Alaska. Mais au cours de son activité, la pêcheuse sent quelque chose d’anormal dans son œil gauche. Elle le décrit comme étant « un cil qui vous pique ». Elle essaye du mieux qu’elle peut de retirer cette gêne mais en vain. Rien ne parvient à faire disparaître la sensation qui devient de plus en plus gênante. Cela va durer 5 jours ! Alors un matin, Abby se lève et décide que ce jour sera le dernier où elle vivra avec cette horrible gêne. Elle a pris son courage à deux mains. Elle a retourné sa paupière, « a pincé la peau enflammée en dessous, et a donné un coup sec ». Et lorsque la jeune femme baissa les yeux vers sa main, elle découvrit un ver : « il y a avait un ver sur mon doigt ».
Après avoir retiré le ver, la petite bestiole gigota encore quelques secondes avant de mourir dans la main de la jeune femme. Abby affirme avoir vu le même genre de ver présents dans le saumon. Elle suppose donc qu’après avoir touché le poisson, elle a dû toucher ses yeux. Mais rien ne confirme ces dires.
Une première fois mondiale depuis des années !
Ce type de ver se nommerait Thelazia Gulosa. Il est présent chez les bovins et en aucun cas chez l’Homme. Mais la jeune femme n’en avait pas fini avec ces bestioles… De plus en plus de vers faisaient leur apparition dans l’œil de la jeune femme. « J’ai dû les retirer un à un en dehors, alors j’ai su qu’il y en avait beaucoup ». Au final, la jeune femme a retiré 5 vers au total de son œil. Lorsqu’elle a vu les médecins, ces derniers étaient apparemment « paniqués » et ne savaient pas si les vers étaient dangereux ou non. Et après de multiples péripéties, les médecins ont finalement réussi à analyser un des vers. Ils ont dû remonter très loin pour pouvoir l’identifier. Ce type de parasite était apparemment « extrêmement rare » et n’est apparu que trois fois dans l’histoire, un en Asie, un autre en Californie et, plus de 20 ans après, en Oregon.
Les vers proviendraient des « mouches faciales » se nourrissant « des larmes du bétail ». Mais même si les médecins ont réussi à trouver la provenance de ce parasite, ils ne savent toujours pas comment il a pu arriver dans les yeux de la jeune femme…