Valérie Pécresse endettée : elle refuse le don de Nicolas Sarkozy : quel était son montant ?
C’est ce qu’on appelle être rancunière. Selon les informations du Figaro dévoilées ce jeudi 5 mai 2022, Valérie Pécresse aurait refusé le don de Nicolas Sarkozy pour rembourser sa campagne. Endettée à hauteur de 5 millions d’euros après le premier tour de l’élection présidentielle, elle avait demandé aux Français de l’aider. Visiblement, l’ancien président de la République n’était pas concerné.
Valérie Pécresse VS Nicolas Sarkozy, la guerre fait rage
C’est une histoire d’ego qui prend une ampleur considérable. En effet, tout commence en mars 2022, Valérie Pécresse est officiellement candidate Les Républicains pour la présidence de la République. Elle pense alors pouvoir compter sur Nicolas Sarkozy, ancien président de la République qu’elle a toujours soutenu.
Malheureusement pour elle, ce dernier ne lui apporte pas le soutien escompté. Vexée, elle avait donc décidé de faire cavalier seul. Un non-ralliement expliqué par les proches de Nicolas Sarkozy suite à un manque de reconnaissance dans le parti de Valérie Pécresse : « Il a choisi d’être dans une forme de distance dans cette campagne, qui se déroule dans un contexte très particulier » . La même source poursuivait ensuite en assurant que Valérie Pécresse « aurait été une bonne candidate il y a vingt ans, dans un contexte gauche-droite classique, mais là, c’est trop vieillot par rapport à la concurrence » .
Elle refuse son don
Malheureusement, lors du premier tour de la présidentielle, Valérie Pécresse a fait chou blanc. La candidate n’a même pas recueilli les 5% des voix nécessaires pour qu’elle puisse rembourser sa campagne. Endettée « personnellement » à hauteur de 5 millions d’euros, elle avait lancé un appel aux dons. Mais visiblement, Nicolas Sarkozy n’était pas concerné.
Et pour cause, selon les informations du Figaro dévoilées ce jeudi 5 mai 2022, Valérie Pécresse aurait refusé le don de Nicolas Sarkozy, un don de 2000 euros. Une somme bien loin du montant maximum qu’un particulier peut donner, à savoir 4 600 euros. Un refus auquel n’a pas encore réagi publiquement Nicolas Sarkozy.