Supermarché : la mauvaise surprise qui va tomber à la rentrée !
La crise sanitaire n’épargne personne. Cette fois, ce sont les supermarchés qui subissent l’inflation avec la reprise économique. Malheureusement, ce sont les consommateurs qui vont devoir payer le prix fort. Explications.
>>> À lire aussi : Abricots, cerises, pêches… : la mauvaise nouvelle qui arrive dans les supermarchés !
Les supermarchés touchés par la crise sanitaire
Avec la crise sanitaire, de nombreuses matières premières sont désormais hors de prix (+ 50 %) provoquant des difficultés d’approvisionnement. De fait, avec la reprise économique et cette inflation causée par une forte demande mondiale, les supermarchés doivent réduire leurs marges. Malheureusement, cet effort n’est pas suffisant.
C’est pourquoi dès la rentrée, les consommateurs devraient payer plus cher leurs courses. Les bouteilles de vin en verre sont d’ores et déjà 10 % plus chères. Pour éviter une hausse trop forte, certains ont quelques astuces, comme Yves Puget. Le directeur de la rédaction du magazine LSA livre son astuce : « Là où il y avait du beurre, on met de la margarine. On peut aussi jouer sur les quantités. Là où il y avait plus de 100 grammes, on ne met plus que 80 grammes. Au lieu de 10 gâteaux, on n’en met plus que 8 ».
>>> À lire aussi : Temps, liste, prix : Comment bien réussir vos courses ?
Hausse des prix dans les supermarchés à la rentrée
Cette approche n’est pas sans risque puisque « c’est dangereux, car les consommateurs s’en apercevront très vite », complète-t-il. Actuellement, les supermarchés connaissent une baisse de 0,3 % des produits depuis le début de la crise sanitaire. Même si le manque est encore bas, il pourrait brutalement augmenter dans les prochaines semaines.
Malheureusement, cette hausse semble donc inévitable. Les produits alimentaires, d’entretien et d’hygiène sont les principaux concernés. Surveillez vos achats dès la rentrée prochaine afin d’éviter les mauvaises surprises !
>>> À lire aussi : Arnaque au supermarché : elles se font rembourser 60% de leurs courses au drive pendant un an