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Ils découvrent le cadavre d’un dauphin mutilé avec une inscription atroce gravé dans la chair

Publié par Jessy Wuylens le 31 Jan 2020 à 10:30
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Le 20 janvier dernier, Sea Shepherd publiait une vidéo dénonçant des pêcheurs qui mangeaient un dauphin. Une pratique illégale, que l’ONG s’est empressée de dénoncer, afin d’ouvrir les yeux aux citoyens sur le sort réservé au dauphin. Des inconnus ont voulu répondre à l’ONG, et ont gravé « Sea Shepherd fuck » sur le cadavre d’un dauphin.

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La vidéo du jour

Hugo clément partage une photo d’un dauphin mutilé sur son Instagram !

Hugo Clément, le journaliste engagé pour l’environnement, publie souvent des photos et vidéos où il dénonce des pratiques non écologiques, la maltraitance envers les animaux et les pratiques illégales liées à l’environnement et aux animaux. Près de dix jours après la publication d’une vidéo de Sea Shepherd, montrant un dauphin dépecé dans le but d’être mangé, Hugo Clément partage une photo publiée par l’Organisation Non Gouvernementale, où un cadavre de dauphin est mutilé. « Cadavre de dauphin retrouvé hier sur la plage de Brétignolles-sur-Mer avec ‘Sea Shepherd fuck’ gravé sur la peau de l’animal. Une autopsie va être pratiquée » écrit alors Hugo Clément sur Instagram.

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Les internautes répugnés par l’acte du, ou des malfaiteurs

Sous la publication, une déferlante de haine et de tristesse envahit les internautes. « Graver sur la peau d’un dauphin mort, mais cette personne a des problèmes psychiatriques… » commente une jeune femme, tandis qu’une autre internaute s’inquiète de l’avenir : « Nos enfants nous haïront dans 50 ans … » . Retrouvé sur la plage de Brétignolles-sur-Mer, certains espèrent que le ou les auteurs de la mutilation seront retrouvés et jugés. Pour rappel -parce que oui, il semble évident de le rappeler- mutiler un animal est considéré comme un acte de cruauté, et donc passible de deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende. Dans la description, Hugo Clément rappelle que Sea Shepherd est actuellement en campagne « sur la côte Atlantique pour s’opposer au massacre des dauphins par les navires » .

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