Elle se faisait filmer en ayant des rapports sexuels avec des chiens… elle échappe à la prison
Le verdict vient de tomber, cette retraitée qui a eu des rapports sexuels avec des chiens, a échappé à la prison. Les ébats de Carol Bowditch avec trois chiens ont été filmés, une preuve difficile à réfuter au tribunal. Par contre, elle a prétendu ne pas savoir que la zoophilie était illégal.
Elle couchait avec un labrador, un berger allemand et un saint-bernard
Carol Bowditch, 64 ans, a été filmée en train de faire l’amour à un labrador noir, un berger allemand et un saint-bernard. La police est tombée sur les vidéos au cours d’une enquête à propos d’un homme qui organisait des soirées sexuelles particulières. C’est alors qu’en fouillant dans des clés USB et des DVD, ils ont trouvé les vidéos terrifiantes.
Le procureur a eu du mal à regarder les vidéos
Le procureur a expliqué, lors du procès : « Quand le DVD a été analysé, nous avons trouvé des images extrêmes. Ces images montraient des personnes qui avaient des relations sexuelles avec pénétration, impliquant des chiens. Sur l’une des vidéos qui durait 8 minutes 59 secondes, elle s’adonnait à des relations orales et vaginales avec un saint-bernard prénommé Oscar. »
Elle n’a pas pu nier les faits
L’accusée a admis les faits qui se sont déroulés il y a quelques années, elle a par contre insisté sur le fait qu’elle n’était pas au courant que ces pratiques étaient considérées comme illégales. Au total, la police a trouvé 8 photos et 30 vidéos qui la concernaient. Elle a été jugée pour ses actes mais aussi pour la possession du matériel, qui est aussi répréhensible.
Elle échappe à la prison
L’homme qui était à la base la personne visée par l’enquête et qui habite avec elle, sera quant à lui, jugé prochainement. Il a avoué avoir participé à l’organisation des rapports. Il sera également jugé pour possession de matériel pornographique extrême, d’images interdites d’enfants et d’en avoir envoyé plus de 1860 à différents contacts. Finalement, Carol a seulement été condamnée à 12 mois de travaux d’intérêt général et d’un couvre-feu à 16 heures.