« Une France d’assistés qui veut rien foutre, ils sont vautrés sur leur canapé à bouffer des chips ! » : une avocate en roue libre au sujet du manque de serveurs dans la restauration
Actuellement, c’est la panique dans le monde de la restauration ! En effet, il reste ce jour plus de 200.000 postes de saisonniers à pourvoir. Et il s’avère que le secteur pourrait très bien faire appel à des étrangers… Mais comme vous allez pouvoir le constater dans cette vidéo, Sarah Saldmann a un avis bien tranché à ce sujet !
Sarah Saldamnn estime que notre pays est une nation d’assistés !
Va-t-on tout droit vers une pénurie de serveurs pour la saison estivale ? C’est ce que craint depuis quelque temps le secteur de la restauration ! Il imagine même désormais faire appel à l’immigration ciblée, notamment des serveurs tunisiens, afin d’assurer le service. Car il s’avère que tous les emplois de ce domaine sont concernés. Et pour l’heure, plus de 200.000 postes saisonniers sont encore à pallier !
Mais comme vous avez pu l’entendre dans la vidéo ci-dessus, pour l’avocate Sarah Saldmann, la raison de cette pénurie n’est que la faute des Français… En effet, ces derniers ne veulent plus travailler, malgré la hausse des salaires qui a été négociée entre les syndicats et les patrons…
« Ce n’est absolument pas attractif pour eux »
Elle estime, en effet, que ces personnes sont payées au Smic. Et que ce n’est absolument pas attractif dans la mesure où l’on a des personnes sous perfusion d’aides. « vautrées dans leur canapé« . En effet, selon elle, ces derniers estiment que s’ils cumulent toutes les aides, ils auront exactement la même chose. « Donc, ils préfèrent rester sur leur canapé à ne rien foutre« , martèle-t-elle alors qu’elle était présente sur le plateau des « Grandes Gueules » ce lundi.
« Il serait donc nécessaire d’augmenter les salaires. Ce qui permettrait de rendre les choses beaucoup plus attractives. C’est très difficile d’être serveur. Tant qu’on aura une France d’assistés, il sera nécessaire de trouver des solutions alternatives« , finit-elle par conclure.