La télévision Russe propose au monde entier… de profiter des derniers jours sur Terre avant le drame nucléaire
Décidément, la Russie et de nombreuses personnes y vivant se sont passées le mot pour faire peur au monde entier… Et pour cause. Ces derniers jours, Vladimir Poutine, en tête, n’a cessé de faire planer la menace d’une future utilisation de l’arme nucléaire à l’encontre des pays pouvant venir en aide à l’Ukraine et, surtout, menacer son propre pays… Des journalistes russes, notamment, ont expliqué qu’il fallait « vivre les derniers jours ou dernières semaines normalement ». Ça fait peur…
Ces journalistes de Russie prédisent la fin du monde
C’est à se demander ce qui peut bien passer par la tête de ces journalistes en Russie… Sont-ils délibérément sincères, ou ont-ils eu ordre de diffuser des propos voués à faire peur ? La question mérite d’être posée… Surtout quand on voit le virage pris par Vladimir Poutine ces dernières semaines. En effet, sur le plateau d’une célèbre émission de télévision, plusieurs journalistes ont ainsi expliqué… que la fin du monde était peut-être proche.
« Nous ne trouvons pas un seul scénario de sortie de crise. Les gens devraient vivre leurs derniers jours ou dernières semaines normalement », livre ainsi Maxim Yusin, un célèbre journaliste en Russie. Des propos qui, il faut l’avouer, ne manquent pas d’interpeller et de provoquer la peur…
L’arme nucléaire bientôt utilisée ?
Elle n’est désormais plus un tabou. Et ce depuis que la Russie a engagé une guerre délibérée à sa voisine : l’Ukraine. Vladimir Poutine a désormais deux préoccupations : continuer son combat pour tenter d’annexer, petit à petit, le territoire ukrainien et menacer sans relâche ceux qui tenteraient de lui mettre des bâtons dans les roues.
En ce qui concerne la défiance vis-à-vis des pays occidentaux, Vladimir Poutine n’a qu’un seul moyen de pression : l’arme nucléaire. Il passe donc son temps à menacer ceux qui s’opposent à lui, évoquant alors la puissance nucléaire de son pays qui n’aura, en cas d’utilisation, aucune pitié. Et ces journalistes russes semblent plus que jamais derrière leur chef : « Un ours avec des missiles nucléaires ne peut pas mourir lentement… ». Qui vivra verra…