Roman Abramovitch empoisonné en Ukraine : ce que l’on sait
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Selon les informations du très sérieux Wall Street Journal, le propriétaire du club de football de Chelsea Roman Abramovitch aurait été victime d’un empoisonnement lors d’une médiation Ukraine. Depuis, les spéculations vont bon train. On vous dit tout !
Conflit en Ukraine : L’oligarque russe Roman Abramovitch victime d’un empoisonnement ?
Oligarque russe mais aussi président du club de Chelsea, Roman Abramovitch s’est vu accorder un rôle de médiateur dans le conflit qui oppose l’Ukraine à la Russie. « Il joue un rôle pour établir des contacts entre les parties russe et ukrainienne », avait notamment confié Dimitri Peskov, porte-parole de la présidence russe lors d’un briefing.
D’après les récentes informations du Wall Street Journal, lors d’une réunion à Kiev le 3 mars dernier, le milliardaire russe ainsi que deux négociateurs ukrainiens ont « développé des symptômes » liés à un possible empoisonnement volontaire. A la suite de cette réunion, Roman Abramovitch aurait eu du mal à se nourrir et aurait même perdu la vue pendant plusieurs heures. « Les trois hommes n’avaient consommé que du chocolat et de l’eau dans les heures qui ont précédé l’apparition des symptômes », détaille le site Bellingcat. Pour autant, leurs vies ne sont pas en danger.
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« Ce n’était pas une dose mortelle, c’était un avertissement »
Si le quotidien américain avance l’idée que cet empoisonnement a eu pour unique but de saboter les pourparlers visant à mettre fin à la guerre en Ukraine, un proche de Roman Abramovitch a confié qu’il n’était pas certain de l’identité de ceux qui auraient pris le groupe pour cible. En parallèle, les spécialistes peinent à déterminer si les symptômes ont été causés par des agents chimiques ou par une attaque électromagnétique. « Ce n’était pas une dose mortelle, c’était un avertissement », indique Christo Grozev, journaliste d’investigation.
De son côté, le gouvernement russe dément toutes les affirmations du quotidien. « Cela fait partie de la guerre de l’information », affirme Dimitri Peskov, ajoutant que tout cela ne correspond pas à la réalité. Affaire à suivre !
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