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Quotidien : les deux journalistes arrêtés au Vénézuela ont été libérés

Publié par Maxime le 01 Fév 2019 à 15:21
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Soulagement dans la rédaction de Quotidien. Avant de prendre l’antenne, mercredi soir, pour animer son émission sur TMC, Yann Barthès annonçait que Baptiste des Montiers et Pierre Caillé, deux journalistes de l’équipe, avaient été arrêtés à Caracas, au Vénézuela. Les deux reporters, interpellés alors qu’ils tournaient un reportage près du palais présidentiel, ont finalement été libérés jeudi. Yann Barthès a confirmé la bonne nouvelle, en plateau, avant de commencer l’émission. Le présentateur paraissait soulagé de voir ses deux journalistes revenir de ce pays marqué par une grave crise politique.

La vidéo du jour

 

Yann Barthès annonce la libération des deux journalistes de Quotidien

Yann Barthès a pris la parole pour saluer la libération de ses deux confrères en début d’émission. « On est tous beaucoup plus légers aujourd’hui. J’avais promis de vous tenir au courant, je le fais. C’est avec un sourire non dissimulé que je confirme : nos deux journalistes Pierre Caillé et Baptiste des Monstiers sont actuellement dans un avion qui les ramène à Paris. Ils ont décollé tout à l’heure, à 18h, de Caracas. Je vous rappelle que notre équipe était sur place pour couvrir la crise au Vénézuela. Ils ont été arrêtés mardi.

 

Baptiste des Monstiers, journaliste de Quotidien après sa libération : « On se casse »

Le présentateur vedette de Quotidien préférait ne pas donner trop d’informations sur leur arrestation « au risque d’aggraver leur situation » , mercredi. Il a donc accueilli la nouvelle de leur libération avec joie. « Ils ont été arrêtés mardi. Tous leurs moyens de communication leur ont été confisqués. Baptiste m’a envoyé un SMS cet après-midi, trois mots : Nous sommes libres. Non, c’est Baptiste. Les trois mots étaient : on se casse. Si leur avion arrive à l’heure demain, à Paris, ils nous raconteront le détail de leur détention. Merci à tous les messages de soutien que nous avons reçus, merci à l’ambassadeur de France au Vénézuela » . Agnès von der Mühll, porte-parole du ministère des Affaires Etrangères, avait déclaré plus tôt dans la journée : « Nous exigeons leur libération et mettons tout en oeuvre pour l’obtenir dans les plus brefs délais » . Mission accomplie.

 

 

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