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Pleurer après une partie de sexe ? C’est la dysphorie post-coïtale !

Publié par Jessy le 18 Mai 2021 à 15:37
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Pendant une relation intime, les personnes réagissent et expriment leur orgasme différemment. Il y a ceux qui rigolent, ceux qui ont les jambes qui tremblent et ceux qui pleurent. Mais pourquoi certaines personnes pleurent après un rapport sexuel ? On vous explique tout… Et ce n’est pas lié à un orgasme !

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Le dysphorie post-coïtale : le syndrome des larmes après le sexe

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Après un rapport sexuel, certaines personnes ont tendance à pleurer. Ce phénomène n’est pas rare, et certaines femmes ont tendance à pleurer après un orgasme. Ce phénomène, c’est tout simplement la dysphorie post-coïtale. Il se caractérise par un sentiment de tristesse, de solitude ou de mélancolie après un rapport sexuel, comme le rapporte Au Féminin.

En général, la dysphorie post-coïtale intervient « quelques minutes après la fin du rapport sexuel » comme l’explique Claire Alquier, sexologue. « Elle n’est pas du tout synonyme d’un rapport qui aurait été traumatique, déplaisant ou désagréable. C’est quelque chose qui survient et dépasse la personne. Souvent, c’est incompréhensible pour la personne qui le vit, comme pour la ou le partenaire » continue la sexologue. En soit, le phénomène est répandu, mais c’est aussi une source d’angoisse pour les deux parties, qui ont l’impression de faire souffrir l’autre ou de souffrir.

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Pourquoi intervient la dysphorie post-coïtale ?

Les pleurs après le rapport sexuel ne sont pas forcément signe de traumatisme lié à un rapport sexuel. Selon les scientifiques, la dysphorie post-coïtale pourrait être dû à un dérèglement hormonal. « Le stress, l’anxiété, les enjeux que l’on met dans le rapport qui se joue… Tout cela, ce sont des contextes très importants qui font partie de l’équation sexuelle » explique la sexologue Claire Alquier.

Mais face à cela, certaines personnes ne savent pas comment exprimer ce sentiment à leur partenaire. Et sur ce point aussi, Claire Alquier à également une réponse à donner : « Le ou la partenaire peut ouvrir la discussion là-dessus, et rappeler qu’il peut être bien d’en parler à quelqu’un d’extérieur qui peut soit démêler le côté psy avec potentiellement le traumatisme, soit démêler le côté plus physiologique qui pourrait être annonciateur d’autre chose » .

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Source : Au féminin

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