Viol suite à une libération anticipée « Covid » : les parents attaquent l’état
Le 24 Octobre 2020, une jeune fille de 17 ans a malheureusement été victime d’un viol par un individu. Ce dernier avait pu bénéficier d’une libération anticipée « Covid » ! Sa peine de 4 ans de prison faisait suite à des violences, séquestration et aussi agression sexuelle. Avec l’aide de leur avocat Me Fabien Rajon, les parents de la jeune fille ont décidé d’attaquer l’État.
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Viol suite à une libération Covid : Un taux d’occupation supérieure à la limite en prison !
C’est à la prison de Lyon-Corbas qu’était incarcéré le suspect purgeant une condamnation pour des faits d’agressions sexuelles. Le taux d’occupation de cette dernière est de 130%.
Il est important que soit réduit ce taux pour pouvoir limiter les conséquences d’une éventuelle propagation du virus au sein de l’établissement pénitentiaire. C’est en tout cas ce qui est écrit Me Rajon, dans le jugement rendu le 24 avril 2020 par un juge d’application des peines. Celle ordonnant cette libération anticipée Covid à compter du 4 mai 2020.
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Des risques dé récidives reconnus !
En effet, comme le stipule Me Rajon :
Le pire c’est que dans cette décision il est clairement indiqué que le risque de récidive n’était pas à exclure.
En effet, lors de cette libération anticipée Covid Monsieur S. présentait aussi des tendances au viol et au passage à l’acte hétéro-agressif. Enfin que sa détention était émaillée de quatre véritables incidents.
Suite au viol de cette jeune fille en octobre dernier, l’individu a été placé en détention provisoire. Il a également été mis en examen pour «viol sur mineur de plus de quinze ans» ainsi «menaces de mort avec ordre de remplir une condition.»
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