Des photos de famille trop flippantes… à cause de la photographe pro qui ne maitrisait pas Photoshop
Suivez nous sur Google News
« OK, Ce n’est PAS une blague », écrit Pam pour commencer sa publication sur Facebook. Et elle a raison de prévenir, parce que ce qui va suivre risque de vous faire sourciller. La famille Zaring a décidé de s’offrir un shooting photo professionnel pour renouveler les photos de famille. Le shooting qui s’est très bien déroulé, dans un parc ensoleillé, ne laissait pas présager ce qui allait suivre…
Le shooting se déroule très bien
Dave et Pam Zaring ont contacté Lesa Hall, une photographe professionnelle expérimentée, pour réaliser un merveilleux shooting photo dans le Forest Park de St Louis. Dave, Pam, leurs deux enfants, la grand-mère et les deux chiens ont tous fait leur plus beau sourire devant l’objectif de Lesa. Le coût de la séance photo s’élève à 250 dollars, environ 200 euros. Lesa promet d’envoyer les photos retouchées dans les prochains jours.
Ils préfèrent en rire
Quelques jours plus tard, la famille reçoit le résultat sur un DVD. Toute la famille se réunit pour découvrir les clichés. Et là… c’est le choc ! Des fantômes apparaissent sur les photos. Qu’est-il arrivé à leur visage ? Ils n’ont plus de traits du visage. Les rides, les pommettes, les joues, le front, les sourcils… tout a été gommé par un abus de retouches sur Photoshop. Heureusement, la famille préfère en rire : « Je n’ai jamais autant ri de toute ma vie. Mes enfants étaient vraiment perplexes. Ils ont cru que c’était une blague. Ils disaient qu’ils ressemblaient à des bonshommes LEGO ».
Son prof n’avait pas encore expliqué comment faire des retouches
Quand ils ont demandé des explications à la photographe, elle a expliqué qu’elle avait voulu corriger les ombres sur les visages mais malheureusement, son prof de photo ne lui avait pas encore appris comment le faire. La famille a posté les photos sur Facebook, qui ont été repartagées près de 400 000 fois. Ils n’ont pas demandé de remboursement, et ont décidé d’exposer les clichés dans leur bureau d’assurance que possède la famille.
