Pfizer : Ces trois nouveaux effets secondaires très inquiétants
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Les craintes envers les vaccins contre le Covid-19 sont notamment liées aux effets secondaires. L’Agence européenne des médicaments a relevé trois nouveaux effets indésirables plutôt inquiétants qui pourraient survenir après une injection des vaccins Pfizer et Moderna.
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Pfizer/Moderna : Trois nouveaux effets secondaires
La liste des effets secondaires des vaccins s’allonge. Si on retrouve souvent le mal de bras, la fatigue ou encore la fièvre, d’autres effets indésirables semblent inquiéter l’Agence européenne du médicament.
En effet, elle a annoncé ce mercredi 11 août étudier trois nouvelles affections qui pourraient apparaître après l’injection notamment des vaccins Pfizer et Moderna. Ce sont les suivants :
- l’érythème polymorphe : forme de réaction allergique cutanée qui se manifeste par l’apparition de taches cutanées rouges de forme concentrique.
- la glomérulonéphrite : affection qui cible les reins en s’attaquant aux glomérules, pelotes de microscopiques vaisseaux sanguins qui filtrent le sang.
- le syndrome néphrotique : affection touchant les reins avec un oedème au niveau des tissus corporels et caractérisé aussi par un gonflement, une hypertension artérielle et des globules rouges dans les urines.
Le rapport risques/bénéfices toujours en faveur du vaccin
L’Agence européenne étudie donc de très près ces trois troubles pour déterminer si ce sont bien des effets secondaires du vaccin. Elle a alors demandé des données supplémentaires à Pfizer et Moderna pour étudier ce lien éventuel. Toutefois, le nombre de cas concernés n’a pas été communiqué mais cela resterait rare pour le moment. Par ailleurs, l’Agence européenne continue de défendre que le rapport risques/bénéfices reste en faveur du vaccin.
D’autres effets secondaires sont déjà surveillés de près. Les troubles menstruels qui semblent touchés certaines femmes après le vaccin Pfizer font l’objet d’une surveillance accrue même si jusqu’à présent aucun lien n’a pu être établi. De plus, il y a quelques semaines, l’Agence européenne avait identifié un lien éventuel entre l’injection des vaccins à ARN messager et de rares cas d’inflammation du muscle cardiaque.
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