Un père met le feu à sa fille parce qu’elle est trop belle et asperge d’essence sa deuxième fille
Edward Herbet a arrosé d’essence sa fille de trois ans et l’a immolée car elle était trop belle. Ce père de 43 ans comparait aujourd’hui devant la justice australienne et plaide non coupable.
Il était alcoolisé et sous l’emprise de la drogue
Edward Herbert était en train de boire et de fumer un joint à son domicile quand il est complètement parti en vrille. Il a mis le feu à sa petite fille de 3 ans et a commencé à asperger d’essence sa deuxième fille de sept en ans. La fillette de trois est brûlée au visage et sur tout le haut du corps. Elle va devoir subir de nombreuses opérations chirurgicales et des séances de laser pour enlever les cicatrices.
Il brûle sa fille pendant la nuit
La Cour de Perth a entendu le déroulé des événements selon les récits des témoins et de l’accusé. En fin de soirée, Herbert aurait dit à sa femme : « Le loup-garou arrive vers minuit ». Ensuite, il se rue vers la chambre et s’adresse à sa fille : « Et oui s*****, je vais te tuer ». C’est à ce moment-là qu’il a allumé le feu et jeté de l’essence sur sa deuxième fille. C’est le voisin, Daniel McMillian qui a été alerté par les cris et les flammes. Lorsqu’il est entré dans la maison, il a trouvé Edward dans la cuisine, qui buvait tranquillement sa bière. Il lui aurait dit qu’il faisait ce qu’il voulait car il était chez lui et que c’était ses enfants. Il ajoute ensuite que sa fille était trop belle et que c’était la raison pour laquelle il l’a brûlée. Il a menacé son voisin avec un couteau, qui a tout de même réussi à l’assommer avec l’extincteur.
Il plaide non coupable
Le procès est toujours en cours. Il a cinq charges qui pèsent contre lui. Il est accusé d’une double intention de tuer, d’avoir menacé de tuer sa femme, d’être en possession d’une arme dans le but de menacer et de causer un acte dangereux qui pourrait blesser quelqu’un. Même si l’homme a été obligé d’admettre les faits, il plaide non coupable. En effet, lui et ses avocats expliquent qu’il n’était pas dans un état psychologique normal et qu’il n’est pas coupable de ce qu’il a fait, alors qu’il n’était pas maître de ses actes.