Payer les contraventions de stationnement par des dons pour les chats abandonnés : une idée folle et ingénieuse !
Avec le coût des stationnements en France, et particulièrement dans les grandes villes, les fraudes au stationnement se font nombreuses. On ne paye pas, et on espère que personne ne le remarquera. Dans l’Indiana, la police autorise les citoyens à payer leur stationnement et les contraventions en dons pour les chats et chatons abandonnés.
Dans l’Indiana, vous pouvez payer vos contraventions par des dons !
Dans l’Indiana, un refuge a eu une idée révolutionnaire. Au lieu de payer une contravention pour stationnement impayé, les habitants peuvent faire un don au refuge de Muncie. Face aux 350 chats ayant besoin de nourriture et de fournitures (litières etc), il fallait réagir. Une situation accablante qui a donné une idée à la police locale. Cette alternative simple pourrait grandement aider le refuge : les habitants, au lieu de payer leur stationnement, font un don pour les chats du refuge. Et il ne s’agit pas seulement de nourriture, mais également de la litière, des coussins, des couvertures… Derrière cette idée, un objectif précis : sensibiliser et aider le refuge, qui se retrouve face à une situation déconcertante. Chaque jour, le nombre de chats dans le refuge ne cesse d’augmenter. Résultat : des abandons de plus en plus fréquents.
Un chat en cage est un chat malheureux !
Certains diront que les chats peuvent s’en sortir seuls dans la rue. Mais lorsqu’un chat a été adopté, puis abandonné, son espérance de vie diminue. Plus de 350 chats sont enfermés dans des cages du refuge, attendant que quelqu’un les adopte. Le programme ne dure qu’une semaine, et pourrait être reconduit selon sa popularité et son résultat. Les habitants de Muncie, mais aussi les visiteurs, peuvent aider le refuge et montrer l’intérêt qu’ils portent aux chats et à la cause animale. « Être ici n’est qu’un besoin impérieux ; vous pouvez le voir immédiatement pour les animaux. Ils ont besoin d’essuie-tout, de litière et de nourriture. Le besoin existe » explique Jamie Brown, du département de police de Muncie.
Une alternative qui serait la bienvenue en France.