Incroyable : Il achète des parties de corps volées à la morgue pour les revendre sur MarketPlace
Atteinte à l’intégrité d’un cadavre. Voici de quoi est inculpé Jérémy Pauley en Pennsylvanie. En effet, la police locale a indiqué avoir arrêté ce quarantenaire après qu’il ait supposément acheté auprès d’une femme des parties de corps humains. Visiblement, l’accusé serait un spécialiste du commerce de membres…
« Facebook interdit explicitement la vente de parties du corps humain »
Selon la police, en juin 2022, cet homme de Pennsylvanie aurait donc ainsi prétendument acheté des parties de corps volées dans une morgue afin de les revendre sur Facebook. Jeremy Pauley est également accusé d’avoir abusé d’un cadavre. Mais aussi d’avoir reçu des biens volés. Puis d’avoir vendu le produit de ses activités illégales. Rien que cela.
Visiblement, le quarantenaire rémunérait une femme de l’Arkansas 4 000 $ ( environ 4 000 € ) pour les parties du corps afin de les revendre à profit, sur le réseau social. Mais il ne savait pas que les normes communautaires de Facebook interdisent l’exploitation humaine. Et que ces dernières interdisent également, et explicitement, la vente de parties du corps. Son annonce a donc très rapidement attiré l’œil d’un modérateur.
« Des seaux entiers de parties de corps »
Une porte-parole de l’Université de l’Arkansas a assuré que malheureusement les restes en question avaient initialement été donnés à une morgue. Le but étant qu’ils soient incinérés. Mais ils auraient ensuite été volés.
Lors de la perquisition, les enquêteurs ont pu découvrir au domicile de Pauley, ce qu’ils ont décrit comme étant des « restes humains plus âgés ». Comme notamment des squelettes complets, obtenus, selon le rapport, légalement.
Mais ils ont également pu découvrir des restes plus récents :
« Des squelettes, plusieurs seaux de parties de corps. Deux cerveaux, un cœur, de la peau, des foies, des poumons… »
Et encore plus choquant, la plainte pénale révèle qu’une mandibule d’enfant avec ses dents a été également retrouvée.