Michel Sardou : Énorme dérapage en plein concert, des fans quittent la salle
Connu pour son humour parfois border, Michel Sardou n’a pas fait exception ce samedi soir à Paris. Alors qu’il se produisait à Paris La Défense Arena, le chanteur a risqué quelques blagues qui ne sont pas passées auprès de tous les spectateurs…
Michel Sardou et son humour discutable
Son départ à la retraite fait la une des médias. Et il semblerait que cette fois soit la bonne : Michel Sardou fait ses adieux à la scène. Seulement, hors de question pour l’interprète de La maladie d’amour de s’en aller sans marquer les esprits.
Connu pour son franc-parler et ses blagues douteuses, le chanteur n’a pas fait exception ce samedi. Il se produisait alors à Paris La Défense Arena, où il s’est laissé aller à quelques remarques discutables…
« Je vais vous chanter une chanson qu’on ne pourrait plus écrire aujourd’hui », s’est amusé le septuagénaire face aux 20 000 spectateurs et spectatrices présents à son concert. « Un jeune homme qui pose sa main sans son consentement sur la main d’une femme, c’est garde à vue direct. S’il a l’audace de vouloir sa main ailleurs, là, c’est Fleury-Mérogis ! », a lâché Michel Sardou plus tard.
« C’est peut-être pas mal, finalement, qu’il prenne sa retraite »
Autant de remarques déplacées qui n’ont pas été du goût de certaines spectatrices, qui ont préféré quitter la salle de concert. Encore sous le choc, elles ont été alpaguées par les journalistes du Parisien auxquels elles ont confié le fond de leur pensée.
« J’ai été choquée par ses propos sur le consentement. En 2024, on ne peut plus parler comme ça. C’est peut-être pas mal, finalement, qu’il prenne sa retraite », a confié l’une d’elles.
Les prises de positions de Michel Sardou ne devraient pourtant pas surprendre son public. En janvier 2023, il avait pris la parole sur le plateau de BFMTV : « Je n’ai jamais été misogyne, je ne suis pas féministe non plus, les féministes m’emmerdent. #Metoo par exemple, c’est dangereux ». « Je ne suis pas déconstruit du tout et je ne veux pas me déconstruire », avait-il encore déclaré.