Quand le PDG de Ryanair offre les boissons à bord, il fallait se douter que sa générosité avait des limites
Ryanair est connu pour ses tarifs qui défient toute concurrence mais aussi pour les polémiques fréquentes concernant les conditions de travail des employés ou les conditions de vol des passagers. La société irlandaise est réputée pour offrir du low cost mais aussi du service minimum. Alors quand Michael O’Leary, PDG de Ryanair annonce une bonne nouvelle en personne, il faut se douter que ce n’est pas aussi généreux qu’on le pense. Ce n’est pas tous les jours que le grand directeur d’une société aussi importante décide de payer la tournée à ses clients. Regardez le moment inattendu où le PDG a pris l’intercom de l’avion et s’est adressé aux passagers pour leur offrir à boire… mais son côté radin est toujours là !
Le cheval du PDG de Ryanair a remporté une course
Michael O’Leary était de très bonne humeur ce weekend. Il venait d’assister au Grand National, une compétition hippique à Aintree, l’hippodrome de Liverpool. C’est finalement Tiger Roll qui a remporté la course au photo finish, un cheval qui appartient à Michael O’Leary, PDG de Ryanair. Dans l’euphorie de la victoire de son cheval, le président a voulu partager son bonheur avec les passagers qui prenaient l’avion de retour avec lui.
Michael O’Leary paie un verre à tous les passagers
Michael O’Leary s’est levé de son siège, juste après l’embarquement, s’est emparé de l’intercom et a fait une annonce. « Aujourd’hui, on a remporté le Grand National. Alors exceptionnellement, à bord de cet avion c’est open bar. Et je vais personnellement payer pour vous ». Les passagers acclament le généreux président, lui qui d’habitude fait payer le moindre supplément à bord. L’homme a la fortune personnelle estimée à 890 millions d’euros reste toujours près de ses sous. Car par « open bar », il entend payer une seule boisson à chaque passager. C’est déjà mieux que rien, diront certains. « Certaines personnes pensent que je n’ai pas de cœur. Mais je peux vous dire qu’il battait très fort et très vite lors des 100 derniers mètres de la course », explique Michael O’Leary.
Crédits : Betfair