Magali Berdah, très émue, évoque le cyberharcèlement dont elle est victime
À la tête de l’entreprise Shauna Events, Magali Berdah a souhaité prendre la parole sur le plateau de BFMTV pour dénoncer le cyberharcèlement qu’elle subit depuis huit mois. Tout a commencé lorsque Booba, rappeur, l’a accusée d’escroqueries…
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Magali Berdah lance un cri du cœur
Cela fait désormais plus de huit mois que Magali Berdah est la cible du rappeur Booba, ce dernier l’accusant d’escroquerie. Ce vendredi 20 janvier 2023, elle a donc souhaité prendre la parole sur le plateau de BFM Story, sur BFMTV, afin d’évoquer le cyberharcèlement.
Très émue, la mère de famille a assuré que cela avait détruit sa vie.
« Parce que ce n’est pas vivable… Quand on ouvre son téléphone, et qu’on se fait insulter, que sur Internet, on voit son adresse diffusée et qu’il devient nécessaire de déménager… »
Au bord des larmes, Magali Berdah assure ne plus en pouvoir. Il y a peu de temps, elle a d’ailleurs déménagé ses bureaux, mais dès le lendemain, Booba a diffusé une vidéo de ses nouveaux bureaux, alors qu’elle n’avait même pas encore communiqué l’adresse au greffe.
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« C’est une mise à mort »
Comme elle l’assure, le cyberharcèlement, c’est finalement un peu comme une mise à m*rt.
« Tant que la victime n’est pas mo*te, le cyberharceleur ne cesse pas. »
💬 « J’ai pensé à me suicider »
Magali Berdah dénonce le harcèlement qu’elle subit ⤵ pic.twitter.com/uM1GdA9PMx
— BFMTV (@BFMTV) January 20, 2023
Pour mémoire, en décembre, huit personnes avaient été placées en garde à vue dans le cadre de cette affaire, mais étonnamment, Booba n’en faisait pas partie. Visée par une enquête pour pratiques commerciales trompeuses, l’influenceuse réfute l’ensemble et assure qu’on la pointe du doigt pour des pratiques qui n’existent pas. Et que si éventuellement certaines personnes assurent que cela existe, qu’elle se tient à la disposition des enquêteurs.
« Je n’ai aucun problème avec ça. », finit-elle par conclure.
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Source : Meelty