« Macron, c’est ma p**e ! » : Le gilet jaune s’excuse… mais va encore plus loin !
La séquence fait le tour des réseaux sociaux. Un jeune homme est interrogé par un journaliste indépendant, Vincent Lapierre, à propos de sa présence parmi les gilets jaunes. Le manifestant de 23 ans, qui a n’a pas hésité à faire savoir tout le mépris qu’il porte au président de la République, a conclu son interview en lâchant une punchline sans détour : « Macron, c’est ma p**e ! ». Depuis, la séquence est reprise partout, l’émission Quotidien l’a également commentée et Thibault sort du silence pour s’expliquer. Regardez la vidéo pour entendre ses excuses… qui vont encore plus loin !
Un gilet jaune lâche une punchline : « Macron, c’est ma p**e ! »
Thibault, 23 ans, est un gilet jaune qui s’est fait remarquer par les médias suite aux paroles qu’il a tenues, alors qu’il était interrogé dans la rue. « Quand ce type-là (Emmanuel Macron) me traite de fainéant, nous traite de fainéants, c’est quand même à crever de rire. Ce type qui n’a jamais bossé une journée de sa vie dans un emploi qui apporte vraiment de la plus-value. Ce type-là est inutile, le vrai parasite social c’est Macron. (…) Moi ma patronne me paie. Macron, c’est moi qui le paie. D’une certaine manière, c’est ma p**e ». L’émission Quotidien, diffusée sur TMC, a analysé cette séquence qui fait le buzz et a remarqué le logo accroché au gilet jaune de Thibault. Il s’agit du drapeau vendéen, un cœur rouge surmonté d’une couronne et d’un drapeau, utilisé par le parti Civitas, qui est considéré comme un mouvement catholique intégriste. Précisons que Thibault prétend ne pas en être membre.
Thibault présente ses excuses
Suite au buzz qu’il a provoqué, Thibault a accepté à nouveau de s’exprimer calmement, assis à une terrasse de café. C’est de nouveau Vincent Lapierre, du Média pour tous, qui a mené l’interview. Thibault se présente : « Depuis quelques temps apparemment, je suis la nouvelle coqueluche fasciste des gilets jaunes, et j’en suis très honoré ». Dans un premier temps, Thibault explique avoir reçu beaucoup de messages de soutien. Finalement, le jeune homme revient sur ses paroles. « J’aimerais tout de même, prendre l’occasion que l’on a, pour présenter des excuses sincères. » Alors qu’on s’attend tous à entendre ses excuses au président, la suite est encore plus violente. « C’est vrai que j’ai tenu des propos polémiques, un peu violents parfois, je le conçois, je le concède… à l’égard des filles de joie, des prostituées. Parce que c’est vrai que personne n’aime se faire traiter de Macron. Beaucoup de prostituées se sont adressées à moi. « Nous on n’est pas des Macron ». Et c’est vrai. Je suis désolé, les filles. Il y a des mots parfois qui nous échappent. Je ne fais pas d’amalgames, je n’assimile aucune p**e à Macron, je vous rassure tout de suite, Macron reste notre p**e exclusive ». Rappelons que la diffamation est punissable par la loi. Tout propos injurieux tenu en public peut faire l’objet de poursuites.
Crédits : YouTube/Contre-propagande, Le Média pour tous