Il laisse son fils de 4 ans pendant une heure en caleçon sur son balcon pour « dormir tranquillement »
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Alors que nous découvrions il y a peu qu’un magicien manipulait les parents pour violer leurs enfants… Un père de famille de Laval vient d’être condamné pour avoir laissé pendant une heure son fils de quatre ans en caleçon sur le balcon de son appartement.
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Les volets fermés l’empêchaient l’accès à l’appartement
Pendant que des parents sont toujours recherchés pour avoir teinté une cascade en bleu… Une scène tout simplement surréaliste s’est déroulée à Laval le dimanche 9 octobre dernier, vers 18 h. En effet, un groupe d’enfants a remarqué un petit garçon en caleçon sur un balcon alors qu’ils passaient en bas de l’immeuble. Ils se sont ensuite rendus compte que les volets étaient fermés. Et que le petit ne pouvait donc pas retourner à l’intérieur du logement. Une voisine a finalement donné l’alerte et a appelé les policiers. En toquant à la porte de l’appartement, les forces de l’ordre ont réveillé le père de famille…
Interrogé sur la présence de fils sur le balcon, ce dernier a dans un premier temps indiqué qu’il avait fait cela pour « dormir tranquillement ». Depuis, il a changé de version et affirme que son fils s’est faufilé sur le balcon pendant sa sieste.
Malheureusement pour lui, le témoignage de la maman ne va pas dans ce sens. Après l’incident, elle a, en effet, fait consulter son fils par un pédiatrie. Le petit répétait alors en boucle :
« Papa crie, tape, papa méchant. »
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Pixabay
Une heure en caleçon sur un balcon à seulement quatre ans
Et tandis que certains parents inconscients mettent leur enfant en bas âge dans un manège dangereux. Le père de famille, connu de la justice avec un casier judiciaire qui ne compte pas moins de cinq condamnations pour harcèlement, ainsi que pour menace de mort sur son ex-femme, a comparu devant le tribunal ce mercredi 12 octobre.
Consommateur régulier d’alcool, de stupéfiants et de médicaments, il a été condamné à huit mois de prison. Dont quatre en sursis probatoire de deux ans. Ainsi que l’obligation de soins et de travail. Le prévenu ne doit également plus rentrer en contact avec la mère de l’enfant.
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