« Trois nuits blanches, tu ne sais même plus comment tu t’appelles » : Jean-Marie Bigard dévoile ses nuits d’excès avec Pierre Palmade (vidéo)
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Pierre Palmade est actuellement en garde à vue suite à son accident survenu vendredi dernier. Au volant et sous drogue, il risque gros. Depuis cette tragédie, les langues se délient autour du mode de vie du comédien. Son ami Jean-Marie Bigard a notamment raconté avoir partagé des soirées folles avec l’humoriste comme vous pouvez le découvrir dans la vidéo ci-dessous.
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Pierre Palmade plongé dans le monde de l’excès
Le comédien Pierre Palmade a sombré dans tous les excès : alcool, drogue, chemsex… Si cela ne pouvait au départ n’impacter que lui, aujourd’hui, il a provoqué un drame. Lors d’un accident avec sa voiture, une femme enceinte a perdu son bébé et son petit garçon a été défiguré.
Placé en garde à vue, le comédien risque gros. Malheureusement, les tendances dangereuses de Pierre Palmade étaient bien connues, comme l’a raconté son ancien ami Jean-Marie Bigard sur le plateau de TPMP.
Même s’ils n’ont plus de contact depuis 10 ans, ils ont partagé plus jeunes des soirées complètement folles et sans limites. Jean-Marie Bigard a raconté : « Ils nous étaient arrivés de faire la fête, de se coucher à pas d’heure, on ne se couchait pas avant midi, après l’after » .
L’humoriste inarrêtable d’après Jean-Marie Bigard
Pierre Palmade était toutefois celui qui voulait toujours plus repousser ses limites, enchainant jusqu’à trois nuits blanches. « Trois, tu sais même plus comment tu t’appelles, tu risques en te baladant dans la rue de rencontrer n’importe qui, de te faire cambrioler, tabasser » , a précisé l’ancien ami du comédien.
Jean-Marie Bigard explique que même si les amis de Pierre Palmade étaient aussi fêtards, il lui disait souvent de s’arrêter : « Tous les amis de Pierre lui ont dit ‘Pierre arrête’. On sait tous casser les dents, il disait ‘non, je fais ce que je veux, arrêtez de me dire ce que je dois faire’ » .
Le drame a fini par arriver, comme l’a conclu Jean-Marie Bigard : « Il a survécu à tout ça, et puis là, c’est la grosse punition, il n’y a plus rien à faire » .
Était-ce terriblement prévisible ?
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