Jean-Luc Mélenchon en danger ? Il prend une décision radicale !
À deux jours des élections législatives, Jean-Luc Mélenchon a l’air sûr de lui pour prendre le poste de Premier ministre. Cela n’empêche pas le leader de la France Insoumise d’être un homme comme les autres. Ses équipes ont confié à Paris Match, qu’il était obsédé par sa sécurité et n’est jamais rassuré à 100 %.
Les politiciens sont souvent victimes de bousculades voire même d’attaques. Marine Le Pen qui reçoit un œuf, Jean-Michel Blanquer qui se prend une tarte de chantilly, Éric Zemmour qui se fait frapper… La liste est longue. Pour l’instant, Jean-Luc Mélenchon a connu des débats tendus mais il n’a jamais subi une attaque physique.
Dans Paris Match, les Insoumis ont fait des confidences sur leur leader. D’après eux, Jean-Luc Mélenchon a très peur pour sa sécurité. À tel point, qu’il s’est constitué « une petite armée » .
« Un service d’ordre national qui compte environ 300 bénévoles et un escadron de 30 personnes (les militants les plus sûrs) dirigé par Benoît Schneckenburger, ce prof de philo ceinture noire de karaté, très engagé jusqu’à la dernière campagne » , peut-on lire dans le portrait de Paris-Match.
Jean-Luc Mélenchon veut sa « safe room »
Même si Jean-Luc Mélenchon n’est pas souvent agressé dans la rue, on sent que le leader de la France Insoumise peut perdre ses moyens. Comme dans une vidéo datant de l’été dernier, où Jean-Luc Mélenchon agresser verbalement un passant. Il demande aussi à l’un de ses collaborateurs de « lui péter la gueule » .
— Wolf Rimor (@Wolf_Rimor) June 6, 2022
Cette obsession pour sa sécurité se résume à sa volonté d’avoir une « safe room » en cas d’attaque de masse. D’après ses proches, Jean-Luc Mélenchon souhaite vraiment mettre en place ce lieu particulier. Concrètement une « safe room », aussi appelé une « chambre de sûreté » , est une pièce fortifiée installée au sein d’un bâtiment, prévue pour un usage privé, dans laquelle ses propriétaires peuvent se réfugier en cas d’intrusion.