Izïa Higelin évoque un lynchage de Macron en plein concert, une enquête a été ouverte
Suivez nous sur Google News
Une enquête a été lancée à la suite des propos tenus par la chanteuse Izïa Higelin lors d’un concert à Beaulieu-sur-Mer, où elle a imaginé publiquement un scénario choquant de lynchage d’Emmanuel Macron. Les autorités ont saisi les forces de gendarmerie pour mener les investigations nécessaires.
>> À lire aussi : Emmanuel Macron en joie : la vidéo qui fait scandale pendant les émeutes
Les autorités enquêtent sur les propos controversés de la chanteuse
Une enquête a été ouverte après que la chanteuse Izïa Higelin a suscité la controverse en évoquant publiquement un scénario de lynchage d’Emmanuel Macron lors d’un concert à Beaulieu-sur-Mer. Les autorités compétentes, notamment la brigade territoriale de gendarmerie de Beaulieu-sur-Mer et la brigade de recherches, ont été saisies pour mener les investigations nécessaires.
Cette décision a été confirmée par le procureur de Nice, Xavier Bonhomme, qui a précisé que l’enquête n’était pas la conséquence d’une plainte formelle.
>> À lire aussi : Adolescent tué par un policier : Emmanuel Macron s’exprime
Des propos dérangeants sur Macron tenus par Izïa Higelin lors d’un concert
Lors de son concert au festival Les nuits guitare à Beaulieu-sur-Mer, la chanteuse Izïa a déclenché une polémique en imaginant publiquement un scénario où Emmanuel Macron serait lynché par les spectateurs. Selon le journal Nice-Matin, la chanteuse aurait même ironisé en prédisant le gros titre du lendemain dans le journal. Les gendarmes auraient tenté de l’interroger à la fin du spectacle, mais leurs efforts se sont révélés infructueux, la chanteuse s’étant volatilisée.
Ces propos ont suscité de vives réactions et ont été jugés inappropriés par de nombreux spectateurs. Ils ont également mis en avant la question de la liberté d’expression… Et de ses limites dans un contexte public. L’ouverture de l’enquête vise désormais à établir les circonstances exactes des déclarations de la chanteuse et à déterminer s’il y a eu une réelle incitation à la violence ou une violation des lois en vigueur.
>> À lire aussi : Les vacances scolaires estivales de vos enfants bientôt raccourcies ? Emmanuel Macron répond
