Illan Castronovo, Simon Castaldi, Capucine Anav : ces influenceurs ont été épinglés par la répression des fraudes
Depuis quelques semaines, les influenceurs sont au cœur d’une enquête de la direction de la concurrence et de la répression des fraudes. Des premiers noms, parmi lesquels des stars très connues, ont été épinglés.
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Des influenceurs épinglés !
Depuis un moment, les influenceurs divisent notamment à cause de placements de produits frauduleux. Booba s’est notamment engagé à dénoncer leurs arnaques.
Néanmoins, aujourd’hui, l’affaire va bien plus loin. La direction de la concurrence et de la répression des fraudes a lancé une enquête autour des influenceurs français, dont le métier a été reconnu officiellement.
Après des mois de recherche, de nombreux influenceurs très célèbres ont été épinglés. Cela a commencé avec Illan Castronovo et Simon Castaldi. Les deux candidats ont donc dû épingler sur leur compte Instagram une injonction administrative prononcée par la DGCCRF.
Concernant le fils de Benjamin Castaldi, il n’aurait pas indiqué l’intention commerciale de nombre de ses publications et aurait également caché le nom de certaines marques. En story, il a tenu à préciser qu’il a été épinglé « seulement pour avoir oublié le hashtag sponsorisé sur ses placements de produits » . Le jeune homme assure qu’il s’agit seulement d’un « manque d’attention » et que cette erreur ne relève pas de « l’arnaque » .
Illan Castronovo, qui a déjà eu quelques ennuis avec la justice, a également directement reconnu les faits et a expliqué pourquoi il se retrouvait épinglé.
« La première, ça a été de ne pas mettre le hashtag ‘sponsorisé’ à toutes mes publications. La deuxième, c’est que tu n’as pas le droit de faire une promotion pour une formation CPF en disant que tu peux avoir un iPhone, ou des avantages, c’est interdit. Et la troisième, ça a été par rapport aux paris sportifs. Tu ne peux pas faire d’allégation en disant ‘Les gars, avec ce parieur sportif (même si toi tu le trouves bon), vous allez gagner de l’argent’. Tu n’as pas le droit de le faire, tu ne peux pas promettre des gains d’argent ! » , a-t-il déclaré en story.
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La liste s’allonge rapidement
Illan a donc décidé de mettre directement les choses au clair. Il a également précisé qu’il n’avait pas à payer d’amende. Pour lui, il ne fait pas partie des fameux « influvoleurs » .
Il ajoute qu’il est peut-être dans les premiers, mais qu’il ne sera certainement pas le dernier : « Je vois d’autres influenceurs qui rigolent… Ne rigolez pas trop ! S’ils m’ont eu moi… Ils m’ont puni à poster ça pendant trente jours, mais c’est la plus petite punition. Là, il y a la vraie punition qui arrive pour ceux qui ont vraiment fait des conneries ! » .
Illan n’a peut-être pas tellement tort, car rapidement la liste s’est rallongée comme l’a fait remarquer Booba.
En effet, Capucine Anav, Anthony Mathéo, Gaetan Debled et Léa Montchicourt viennent aussi d’être visés par une injonction de la sorte. De nouveau, le problème est que les intentions commerciales n’étaient pas clairement mentionnées.
Pour Anthony Mathéo, c’est aussi la présentation de prestations d’injections d’acide hyaluronique par une esthéticienne qui est pointée du doigt. En effet, cette opération doit être réalisée par un médecin.
Pour Capucine Anav, qui avait récemment soutenu Hilona, l’injonction est aussi bien remplie. Elle aurait vanté l’absence de Bisphénol A au sein de biberons et tétines pour enfants, une substance interdite par la loi. L’influenceuse aurait aussi mis en exergue les bienfaits de certains produits sur la santé alors que ceux-ci n’étaient pas prouvés.
Ce type de publication pourrait se multiplier dans les heures et jours à venir.
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