Guy Bedos : ce jour où il en est venu aux mains avec son fils Nicolas Bedos
La mort de Guy Bedos marque toute une génération. Alors, quelques jours seulement après son décès, c’est France 5 qui décide de publier un documentaire sur l’humoriste. Un documentaire qui retrace sa vie, avec notamment sa vie de famille où il se confie sur ce moment particulier où il dérape physiquement avec son fils Nicolas Bedos.
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Guy Bedos : retour sur la vie de l’humoriste
Dimanche 31 mai, France 5 diffuse un documentaire sur Guy Bedos. Baptisé « Un rire de résistance », il retrace la vie de l’humoriste avec sa carrière et surtout, sa vie de famille. Car à côté de la scène, l’acteur a tout de même été marié trois fois dans sa vie avec quatre beaux enfants dont il est toujours resté proche.
À l’exception peut-être de Philippe, son fils adoptif et issu de son second mariage avec Sophie Daumier. Ce fut l’un des épisodes les plus marquants de sa vie puisque malheureusement, le jeune homme décède de la maladie d’Huntington. Quant à l’autre épisode marquant, c’est ce jour où il en vient aux mains avec son fils, Nicolas Bedos.
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Il en vient aux mains avec son fils
Loin d’être violent, Guy Bedos en vient pourtant aux mains avec son fils ce jour-là. À l’époque, Nicolas est un adolescent et fait littéralement sortir son père de ses gonds. « Je suis un pur résilient. Je n’ai jamais battu mes enfants. Juste une fois, pour de vrai, mon fils Nicolas, au plus fort de sa crise d’adolescence, des imprudences des folies qui font peur aux parents… Je lui suis rentré dedans, d’homme à homme. »
Une confession qui en ouvre une autre sur son enfance. « Ma mère, c’était taper pour taper, se venger sur un otage inoffensif… Je me souviens comme d’une brûlure de cette rouste reçue devant une jeune voisine, petite fiancée de fiction, doublement blessé. Elle, ma génitrice, ce n’était pas une résiliente. C’est bien plus tard que j’ai appris que sa mère à elle, Joséphine Sanches, ma grand-mère alcoolique, la tabassait aussi assez volontiers. Ma mère à moi ne buvait pas. Elle avait cette supériorité sur la sienne de pouvoir être méchante à jeun… Et pourtant, je l’aimais. »