Guerre en Ukraine : cette annonce qui vient de tomber qui va tout faire basculer
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Un tireur d’élite canadien, appelé « Wali » va rejoindre l’Ukraine en guerre afin d’aider le pays à résister aux assauts de l’armée Russe. Il n’a pas résisté à l’appel de Volodymyr Zelensky pour donner son secours à cette nation.
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« Wali » répond à l’appel du président Ukrainien
En effet le président Ukrainien a lancé un appel afin que des mercenaires de toutes les parties du globe rejoignent la résistance à l’oppresseur. Le tireur d’élite « Wali » n’a pas hésité et rejoins les troupes composées de volontaires. Ceci juste avant la création d’une légion internationale de défense territoriale ukrainienne par le ministère des affaires étrangères.
Il est actuellement en Pologne ayant rejoint des groupes créés pour venir en aide à l’Ukraine composés d’ancien soldats. Le gouvernement canadien ne s’oppose pas à de tels départs mais rappelle cependant qu’il s’agit de décisions individuelles.
L’as de la gâchette dit tout de même appréhender les dangers que comporte une telle mission. Et les conséquences d’un éventuel emprisonnement pour son pays. Rappelons-le, le Canada et l’OTAN ne sont pas en guerre contre la Russie. Quand bien même ces actions sont d’un héroïsme à souligner, elles restent des démarches individuelles qui n’engagent pas les Etats dont sont ressortissants les individus concernés. Et un amalgame entre le rôle qu’auraient joué ces états dans l’intervention de ces individus pourraient avoir des conséquences désastreuses sur la stabilité de la situation géopolitique internationale.
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Un choix de départ spontané et laissant derrière lui sa famille
Il s’agit d’un ex-tireur d’élite du Royal 22e Régiment de l’armée canadienne. Il n’en est pas à son coup d’essai, il était déjà parti en renfort sur des interventions en Iraq en 2015. Et a également donné son soutien à des opérations en Afghanistan. Cette fois-ci c’est contre l’armée Russe que le mercenaire va pouvoir continuer son activité. Il est parti de son continent avec seulement un sac rempli d’un masque à gaz, un habit de camouflage, une paire de jumelles, une veste de combat et l’on imagine quelques slips propres de rechange.
Malgré l’aspect héroïque de sa démarche humanitaire. On peut se poser des questions sur la motivation de son départ. Laissant derrière lui au Canada sa conjointe et un bébé âgé de seulement 1 an. La compagne de ce dernier n’a pas pu le retenir. Il fallait qu’il parte aider les groupes qui avaient dans leurs rangs besoin de sniper.
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