Fin du masque dans les transports ? Gabriel Attal évoque de nouvelles adaptations
Les chiffres épidémiques sont en baisse et la décrue est donc en train de se confirmer. Dans cette situation d’amélioration, Gabriel Attal a évoqué des adaptations possibles à venir.
Des nouvelles adaptations à venir selon Gabriel Attal
Plus de pass vaccinal, du moins pour le moment, plus de limites de déplacements, pas encore de quatrième dose pour tout le monde, quelles sont les nouvelles adaptations dont a parlé le porte-parole du gouvernement ? En effet, alors que le nombre de contaminations de Covid-19 est passé sous la barre des 50 000 cas par jour, Gabriel Attal a évoqué quelques changements possibles.
Sachant que nous n’avons pas connu des chiffres aussi bas depuis qu’Omicron est majoritaire en France, Gabriel Attal a ainsi déclaré que cette « très nette amélioration, donnera lieu à des adaptations dans les prochaines semaines » .
Voici les mesures qu’il est encore possible de lever :
- Le port du masque dans les transports
- Le pass sanitaire dans les établissements de santé
- L’obligation de vaccination des soignants
Emmanuel Macron a enfin concédé lors d’un déplacement dans les Hautes-Pyrénées qu’il pourrait réintégrer les soignants non-vaccinés : « Quand on ne sera plus en phase aiguë, on le fera » .
Une quatrième dose ?
Ces mesures pourraient libérer les derniers Français et peut-être calmer les esprits. De nombreux scandales continuent pourtant d’éclater autour du vaccin. En ce moment, des documents Pfizer ont été dévoilés et laissent les internautes perplexes. Le cas de Mauricette, décédée de la vache folle, est aussi au coeur de l’actualité. Marc Doyer met en cause le vaccin Pfizer dans la dégradation de l’état de santé de son épouse défunte.
Une quatrième dose pourra-t-elle alors être exigée pour tous ? Certaines personnes fragiles l’ont déjà reçue. Pour le reste de la population, la période de l’automne a été mentionnée à plusieurs reprises. Celle-ci pourrait être avancée avec l’arrivée des sous-variants BA.4 et le BA.5 en France. Toutefois, rien n’assure pour le moment qu’ils vont provoquer une nouvelle vague épidémique.