Femmes fontaine : la vérité sur ces femmes qui intriguent autant qu’elles fascinent !
Les tabous continuent d’exister au sujet des femmes fontaine. Pourtant, ils ne devraient pas avoir lieu. Voici pourquoi, nous, nous allons vous en parler ouvertement !
Les femmes fontaine : une réalité
Grand fantasme de bien des hommes, il faut tout de même rappeler que certaines femmes fontaine ont honte de se laisser aller. Et pourtant, niveau sexualité, dès lors que le consentement et le respect sont là, il n’y a pas la moindre gêne à avoir.
Longtemps mal vues, les femmes fontaine commencent à s’exprimer sur leur sexualité. On la définit de femme fontaine lorsque, pendant le rapport sexuel, la femme expulse un liquide. Une éjaculation féminine, ni plus, ni moins, qui se produit au moment de l’orgasme. Un liquide qui peut aller de petites gouttes à 100 ml. Et à en croire les témoignages des femmes qui s’assument, le plaisir serait décuplé !
Les femmes fontaine : ces déesses.
Ne riez pas ! C’est exactement comme cela que les femmes fontaines étaient considérées lors de l’antiquité. On pensait alors qu’elles étaient des déesses dotées de pouvoirs magiques. Des écrivains et des philosophes ont longtemps pensé que c’est l’union des flux des hommes et des femmes qui donnaient naissance à un enfant.
Quoiqu’il en soit, les femmes fontaine resteraient minoritaires. Enfin, c’est ce qu’on dit. Parce que selon plusieurs études menées, 75 % des femmes expulseraient du liquide lorsqu’elles atteignent l’orgasme. Jacques Salomé dira que « Les femmes sont toutes des femmes fontaine, à condition de rencontrer le bon sourcier ».
Toutes la même anatomie
Non, Mesdames, il n’y a pas un petit canal « en plus » chez les femmes fontaines. Nous sommes, anatomiquement parlant, identiques ! Comme nous vous le disions, nous serions 75% à éjaculer pendant l’orgasme. Cependant, c’est la quantité des sécrétions qui diffère d’une femme à une autre. Tout comme l’éjaculation des hommes d’ailleurs.
Seules 39.5% des concernées avoueraient ressentir ce liquide chaud qui ressortirait au moment de l’orgasme.
Se laisser aller : la clef des femmes fontaine
Bon, bonne nouvelle : que ce soit en solo ou en couple, vous pouvez donc tenter l’expérience. Pour cela, rien de compliqué en théorie : il faudrait juste se laisser aller.
En pratique, cela veut dire la même chose. Mais c’est bien plus compliqué. Il faut que certaines conditions soient réunies pour que notre cerveau et notre corps s’abandonnent. Pour cela, Mesdames et Mesdemoiselles, évitez de penser aux draps qu’il va falloir changer après. Soyez à l’aise et placez une serviette sous vos fesses.
Il est nécessaire pour cela d’atteindre l’orgasme. Soit par le point G (ce fameux point situé à 3/4 cms de l’entrée du vagin) et de le stimuler. Mais, soyons franches, toutes ne le connaissent pas. Alors, si vous êtes plutôt clitoridienne, mettez vous dans votre position préférée et laissez vous aller !
Pour cela, choisissez votre moment. Ce qui veut dire : pas en 2 minutes parce que les pâtes vont coller au fond de la casserole. Laissez vous aller : vous faites du bruit ? On s’en fiche !
Et puis, il n’y a aucune obligation ! Il paraît que l’orgasme ne s’est pas fait en 4 parties de jambes en l’air. Prenez le temps : il n’y a pas d’âge pour découvrir son corps. On le découvre et redécouvre sans cesse.
Petite note sur l’orgasme dit clitoridien / vaginal. Alors tout cela ne serait qu’un vaste mythe. En effet, tous nos orgasmes Mesdames seraient bien provoqués par le clitoris. Mais le clitoris peut-être stimulé en externe, comme en interne. Car le petit bouton visible n’est que la partie émergée de l’iceberg. À l’intérieur, le clitoris est bien plus grand et peut notamment être stimulé par les parois vaginales et déclencher de belles vagues de plaisir que l’on appelle à tort orgasme vaginale. Je vous mets ci-dessous un petit schéma du clitoris à potasser.