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Vladimir Poutine : cette menace terrifiante qu’il pourrait mettre à exécution

Publié par Felix Mouraille le 17 Mai 2022 à 11:30

Ce lundi 16 mai, la Finlande et la Suède ont proposé leur candidature pour intégrer l’Otan. Ce plausible élargissement de l’organisation ennemi de la Russie ne plaît pas à Vladimir Poutine mais il n’est pas pour autant inquiet. Pour lui, la Finlande et la Suède ne sont pas des menaces.

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Vladimir Poutine n’est pas inquiet mais promet une réaction

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Le président russe, Vladimir Poutine, ne considère pas l’adhésion à l’Otan de la Finlande et de la Suède comme une menace. Mais l’homme qui a déclenché la guerre en Ukraine est clair : la Russie réagira en cas de déploiement militaire sur ces territoires. Le président de Russie a déclaré que le Kremlin réagira « de façon adéquate » .

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, a déclaré lors d’un sommet d’une alliance militaire régionale au Kremlin. : « Le déploiement d’infrastructures militaires sur les territoires de ces pays entraînera bien sûr une réponse » .

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Demander l’adhésion à une alliance est une première pour ces deux pays baltiques. Même lors de la Guerre Froide, Stockholm et Helsinki, n’avaient pas fait une telle demande. La Finlande partage 1300 km de frontières avec la Russie. Si les membres de l’Otan déploient des forces militaires sur un territoire limitrophe à la Russie, les conséquence seront lourdes d’après le Kremlin.

Les partis politiques sont d’accord pour adhérer à l’Otan

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Selon les derniers pointages des médias finlandais, au moins 85 % des 200 élus vont voter « oui » . De son côté, la Suède a conclu qu’après « ce débat, je peux constater qu’il y a une grande et large majorité au Parlement pour que la Suède soit candidate à l’Otan […] et le gouvernement est prêt à prendre cette décision » , a alors dit la Première ministre suédoise, Magdalena Andersson. Six des huit partis au Parlement sont désormais en faveur d’une adhésion, représentant une majorité théorique de 304 députés sur  349, soit plus de 85 %.

Le président de la République, Emmanuel Macron, a soutenu la Suède après l’officialisation de sa candidature.