Disparition inquiétante : Deux athlètes paralympiques se volatilisent du village olympique
Nouvelles disparitions dans le cadre des Jeux de Paris. Cette fois, ce sont deux athlètes et un guide de la délégation paralympique de la République du Congo qui sont portés disparus.
Nouvelles disparitions d’athlètes au village olympique
Les disparitions se succèdent et se ressemblent. La première semaine des Jeux Paralympiques, alors même que la compétition n’a pas commencé, la volleyeuse rwandaise Claudine Bazubagira se volatilise après être sortie dîner. Ce sont d’abord ses coéquipières qui lancent l’alerte, puis c’est au tour du comité olympique de prévenir la police. Depuis, l’athlète n’a pas été retrouvée.
Cette fois, ce sont deux athlètes de la délégation de la République du Congo qui sont portés disparus. Il s’agit d’Emmanuel Grâce Mouambako (35 ans) et de Mirelle Nganga (48 ans). Le guide du premier athlète est également porté disparu.
Comme dans l’affaire de la volleyeuse, un responsable de la délégation s’est adressé aux autorités compétentes, indiquant ne plus avoir de nouvelles de ces trois personnes depuis jeudi.
L’hypothèse de la fugue privilégiée
Selon les informations du Parisien, une enquête pour disparition inquiétante a été ouverte par le parquet de Bobigny et la brigade de répression de la délinquance contre la personne a été saisie. Toujours selon le quotidien régional, les deux athlètes et le guide se sont bien présentés aux épreuves sur lesquelles ils étaient alignés.
Le lancer de poids et de javelot pour Mirelle Nganga et le 100 m pour Emmanuel Grâce Mouambako et son guide. Malheureusement, les deux athlètes n’ont pas réussi à se démarquer de leurs adversaires.
Face à ces trois disparitions, les enquêteurs privilégient la piste de la fugue. Comme dans l’affaire de Claudine Bazubagira. Le comité olympique érythréen a pour sa part signalé la disparition de son vice-président.