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Disparition d’Émile : Accusé, son grand-père prend une décision radicale

Publié par Elodie GD le 28 Mar 2024 à 9:45

Les enquêteurs ne chôment pas. Ainsi, près de neuf mois après la disparition du petit Émile, ils s’apprêtent à effectuer une reconstitution. L’occasion pour eux de se faire une idée plus précise du déroulé des événements. Mais alors que la date approche, une information déroutante a fuité à propos du grand-père du garçonnet.

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Le grand-père d’Émile au cœur des soupçons

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La disparition d’Émile reste entourée de mystère. Ainsi, pour éclaircir les zones d’ombres, les enquêteurs envisagent une reconstitution. Cette dernière se tiendra ce 28 mars en présence de plusieurs agents de police et des membres de la famille.

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Mais alors que l’enquête se poursuit, le profil du grand-père intrigue de plus en plus. Ce dernier est décrit comme un homme froid, autoritaire, voire violent. Autant de traits de caractère qui éveillent les soupçons des enquêteurs du net. Mais pas que…

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Récemment, Le Canard enchaîné a dévoilé une affaire qui remonte à quelques années en arrière. Encadrant dans une pension catholique rigoriste durant les années 1990, celui que l’on surnomme frère Philippe a fait l’objet de plusieurs plaintes.

Grand-père d'Émile : des plaintes à son encontre dévoilées
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Des punitions sévères infligées à des enfants

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Plusieurs années après son passage dans la pension, d’anciens élèves sortent du silence. Ils accusent certains encadrants de vi*ls et de violences. Entendu en tant que témoin assisté, le grand-père d’Émile a été cité par plusieurs élèves. Ils l’accusent de faits de violence, notamment de punitions très sévères.

Le Canard enchaîné précise que l’homme a été éducateur dans cette pension pendant trois ans (de 1991 à 1994).

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Autant d’informations jugées trop personnelles par le grand-père du garçonnet, qui s’est empressé de porter plainte contre X. Il reproche au journal d’avoir diffusé ces indications alors même que la date de la reconstitution approche. « Ce qui le gêne, c’est que curieusement cela sort à un moment important, le rendez-vous judiciaire de la semaine prochaine », précise son avocate dans les colonnes de Libération.