Dîners clandestins : Emmanuel Macron sur le point de lâcher une bombe ?
Alors qu’au moins un membre du gouvernement est soupçonné d’avoir participé à des dîners clandestins, Emmanuel Macron décide de mener l’enquête.
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Depuis la diffusion du reportage de M6 et les déclarations polémiques du collectionneur Pierre-Jean Chalençon, c’est la panique au sein du gouvernement. En effet, d’après plusieurs rumeurs, un ou plusieurs ministres auraient participé à des dîners clandestins. Et ce, en pleine période de crise sanitaire alors que les restaurants sont fermés et que les rassemblements sont interdits. Emmanuel Macron a alors décidé de prendre les choses en main.
Une enquête menée au sein du gouvernement
Le Président de la République a commencé à enquêter sur cette affaire, lançant une « chasse à l’homme » , selon des informations rapportés par Le Point. L’Élysée et Matignon ont en effet « mené une enquête rapide interne auprès de plusieurs membres du gouvernement pour s’assurer qu’ils n’avaient pas fauté », a précisé l’hebdomadaire. « Chaque ministre s’est demandé qui pouvaient être le, la ou les concernés » , a constaté un conseiller ministériel.
Un témoin a cependant pointé du doigt sur le plateau de TPMP un homme politique aux cheveux gris toujours en activité. Le ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l’Attractivité, Franck Riester, a donc du se justifier, affirmant qu’il n’était pas concerné par ces diners. « Je vois mon nom associé ici et là à la polémique qui entoure la tenue de dîners clandestins. Ces rumeurs sont totalement fausses et choquantes. Je les démens formellement » , s’est-il insurgé.
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Un choc pour Emmanuel Macron
Suite à ces révélations, Emmanuel Macron a rappelé que le gouvernement, « plus que quiconque », se doit d’être irréprochable. De plus, « il y aura des conséquences immédiates » , a-t-il affirmé. Une situation qui n’agace pas que le chef d’Etat.
« Je suis ulcéré, ulcéré ! On balance tout le gouvernement en pâture, au tir aux pigeons ! Ça va nous faire un mal de chien dans l’opinion (…) Ça me terrorise dans la perspective de la présidentielle. C’est le pire des poisons. Maintenant ça suffit, soit il y en a un qui a merdé et il dégage manu militari avec le goudron et les plumes, soit il n’y a rien. » , s’est plaint un membre du gouvernement dans les colonnes du Point.
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