Dettes : Gabriel Attal exige un « effort global » des Français !
Ce n’est plus un secret, la France croule sous les dettes. Des dettes que le gouvernement est bien décidé à réduire dans les prochaines années. Pour ce faire, Gabriel Attal, ministre chargé des Comptes publics, assure qu’il faudra s’attendre à faire « des économies » dans certains secteurs.
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Gabriel Attal se lance dans une mission désendettement
Gabriel Attal s’est donné pour mission de réduire la dette, entre autres. Un projet qu’il présentera à l’Assemblée nationale quand il évoquera le budget 2024. Et, il lui tient à cœur, car selon lui, « le désendettement est une urgence nationale » .
Lors d’un entretien accordé au Figaro, le ministre chargé des comptes publics a déclaré : « Nous assumons de préférer un désendettement volontariste, mais progressif, à une austérité qui aurait des conséquences néfastes sur l’activité économique » .
Il a ajouté que cet engagement, bien qu' »ambitieux » , sera « tenu » .
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Un « effort global » demandé au Français
Toujours dans les colonnes du Figaro, Gabriel Attal a toutefois précisé qu’un effort serait demandé aux Français. Une nouvelle qui ne risque pas de faire l’unanimité. « Ce serait mentir que dire qu’il n’y aurait pas d’effort global demandé à tous les Français pour réduire la dette » , a-t-il déclaré.
Soucieux de ménager la classe moyenne, le ministre a assuré qu’il considérera « systématiquement l’impact » sur cette dernière. Classe moyenne qu’il décrit comme étant la part « des Français qui se sentent trop riches pour être pauvres et trop pauvres pour être riches » .
Il faut cependant s’attendre à « faire des économies » dans certains secteurs. Lors de son interview, Gabriel Attal a par exemple évoqué les contrats aidés qui seront « largement » réduits. Et, s’il évoque les efforts et les économies nécessaires dans certains secteurs, le ministre chargé des Comptes publics se refuse à parler d’austérité. Surtout dans « un pays qui continue de dépenser plus que ce qu’il gagne » .
Pour rappel, la dette a dépassé pour la première fois le seuil symbolique des 3 000 milliards d’euros. Une information rapportée par l’Insee en juin dernier.
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