Delphine Jubillar : Nouvelles révélations sur les perquisitions au domicile du couple !
Delphine Jubillar reste introuvable depuis deux mois. Le domicile du couple a été fouillé à plusieurs reprises. L’avocat de Cédric Jubillar, mari de la disparue, est revenu sur ces investigations dans la maison du couple.
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La maison de Delphine Jubillar fouillée de fond en comble !
Delphine Jubillar est porté disparue depuis deux mois. L’enquête n’a toujours pas abouti à une véritable piste. On ne sait donc pas si la mère de famille est encore en vie ou non. En effet, son téléphone s’est mystérieusement réactivé un court instant la semaine dernière.
Même les fouilles au domicile du couple n’ont pas beaucoup aidé. Les voisins ont toutefois témoigné qualifiant la maison de bizarre. L’avocat de Cédric Jubillar, Me Jean-Baptiste Alary, a donné une interview à La Dépêche dans laquelle il est revenu sur les investigations dans la maison.
L’avocat indique qu’après trois perquisitions au domicile de Delphine Jubillar, les scellés sur la maison ont été levés. L’essentiel des investigations à ce lieu est donc terminé. L’avocat décrit les trois perquisitions ainsi : « La première, le jour du signalement. Une seconde, plus poussée, à l’aide notamment du bluestar, qui a conduit au placement sous scellés de la maison. Et enfin, la troisième, la plus importante, menée par l’IRCGN, pendant plus de 10 heures, avec 25 gendarmes » .
Une incertitude pesante
Me Jean-Baptiste Alary est lassé de l’attente dans cette affaire, ne sachant pas où il doit placer son client. « Nous aimerions surtout que l’on nous donne un statut. Si on doit être mis en examen, soyons-le. Si on doit être partie civile, soyons-le à fond aussi » , s’impatiente l’avocat. Tout est incertain face à la disparition de Delphine Jubillar : « Ce qui est le plus difficile, c’est l’incertitude. L’incertitude de tout : de cette procédure, de ce qu’est devenue Delphine » .
Il déplore également la répercussion de cette affaire sur la vie professionnelle de son client : « Il avait retrouvé une activité professionnelle. Mais à deux reprises, les gendarmes sont passés sur son lieu de travail, pour diverses raisons, ce qui n’a certainement pas été vu d’un très bon œil. À la fin de sa période d’essai, il n’a pas été gardé. Il peine à présent à trouver un nouvel emploi. Le nom de Jubillar peut faire fuir un patron en ce moment » .
Source : La Dépêche
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