David Hallyday répond aux rumeurs sur sa relation avec son père Johnny, et ça ne va pas plaire à Laeticia
David Hallyday n’en peut plus des rumeurs sur son père.
C’est un livre qui risque de faire beaucoup parler ces prochaines semaines, à l’image de Laeticia, la vraie histoire, publié en septembre dernier. David Hallyday est sur le point de sortir une biographie « Tu ne m’as pas laissé le temps », écrite par le journaliste Laurent Lavige. Le fils de Johnny Hallyday s’est ainsi confié sur son enfance, sa vie, mais aussi et surtout sur ses relations avec son père et son deuil suite à la mort de ce dernier. Le sujet de l’héritage est également abordé, et il risque d’y avoir quelques polémiques…
David Hallyday remet les pendules à l’heure
Ainsi, David Hallyday veut mettre fin aux rumeurs qui le ciblent lui et sa famille. Pour en mettre un terme, il compte faire quelques démentis dans ce livre qui s’annonce d’ores et déjà un succès en librairie. Ainsi, le fils de Johnny Hallyday parle de sa relation avec son père. Certaines rumeurs affirmaient que le rockeur n’était jamais allé voir son fils en concert dans toute sa carrière. Il s’avère que c’est faux. Le Taulier est bien venu voir son fils chanter, et ce à plusieurs reprises : « mon père est venu, je le dis. Seulement, je suis quelqu’un de très discret et je ne prends pas souvent de photo avec lui. »
Le chanteur parle de ses relations avec son père Johnny Hallyday
David Hallyday affirme également que Johnny voulait que ce soit son fils ainé qui gère son patrimoine artistique et sa carrière posthume à sa mort. Dans sa biographie, « tu ne m’as pas laissé le temps », il écrit : « Je ne nie pas ce que tu évoques. Je ne donnerai pas de précision dans la mesure où ce serait mal venu et vulgaire. Toutefois il convient de rectifier un point. Ce n’est pas moi qui ai abordé le sujet. C’est arrivé au milieu d’une conversation avec mon père concernant l’héritage artistique d’autres personnes, et c’est lui qui m’a dit, dans ce contexte, que c’était la même chose pour nous. Il ne voyait pas qui d’autre que moi pouvait s’en charger. »