Covid-19 : enfin une bonne nouvelle selon ce professeur !
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Au fil des semaines, les cas positifs en France n’ont cessé d’augmenter. Et chaque jour, les autorités sanitaires et les professionnels de santé n’espéraient qu’une chose : une diminution des cas.
Selon le professeur Arnaud Fontanet, le pic de contamination a été atteint, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous :
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« La décrue a commencé » selon Arnaud Fontanet
Chaque jour, les Français sont attentifs au nombre de cas positifs dans le pays. En pleine période de vacances scolaires, et avec les fêtes de fin d’années, le taux de positivité a atteint des sommets, dépassant même la barre des 300 000 contaminations en 24 heures. Après les fêtes, les gens se font-ils encore tester ? Sont-ils encore vigilants ?
Quoiqu’il en soit, le pic semble avoir été atteint. Le 16 janvier dernier, 278 129 personnes étaient positives au Covid, contre 324 580 la veille. Invité sur France Inter, Arnaud Fontanet, épidémiologiste de l’Institut Pasteur et membre du Conseil scientifique, a indiqué que « le scénario du pire s’éloigne, la décrue a commencé, le pic des infections a été passé ces jours-ci, au moins en Île-de-France » . Une bonne nouvelle ? Le pic d’admission à l’hôpital n’a, quant à lui, pas encore été atteint.
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« On peut s’attendre à terme qu’on soit protégés contre les formes graves »
Très souvent sollicités par les médias, les scientifiques n’hésitent pas à rassurer la population, tout en insistant sur la vigilance de chacun. Pour le professeur Arnaud Fontanet, les hôpitaux vont encore connaître pendant quelques semaines des tensions. « Les patients vont rester à l’hôpital, on peut s’attendre à ce qu’ils restent très sollicités tout le courant février » explique le scientifique. I
l n’exclut cependant pas une autre vague courant 2022. Pour autant, l’épidémiologiste estime que le Covid-19 pourrait devenir une « épidémie saisonnière ». « On peut s’attendre à terme qu’on soit protégé contre les formes graves » indique-t-il sur France Inter. Selon certains spécialistes, les défenses immunitaires pourraient se développer et être plus fortes que le virus.
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