« On a fait le plus dur » : Olivier Véran se veut rassurant concernant le Covid-19 et le variant Omicron
Olivier Véran était l’invité de BFMTV ce mercredi 2 février pour évoquer la crise du Covid-19 dans l’Hexagone. Le ministre de la Santé s’est montré plutôt rassurant quant à l’évolution de la cinquième vague liée au variant Omicron.
Covid-19 : Olivier Véran positif pour la suite
Après plusieurs semaines de contaminations records, le nombre de nouveaux cas positifs au Covid-19 est en baisse ces derniers jours. Ce mardi 2 février 2022, Olivier Véran s’est rendu sur le plateau de BFMTV afin d’évoquer la suite de la crise sanitaire. Plutôt optimiste pour les mois à venir, le ministre de la Santé explique : « On a dépassé le pic de contaminations. On est en train d’arriver au pic d’hospitalisations », tout en précisant que le plus dur était passé concernant cette cinquième vague.
Selon Olivier Véran, « au moins un Français sur deux a contracté une forme de Covid » depuis le début de la pandémie il y a deux ans, et 15 millions de personnes auraient été touchées par le variant Omicron. Il assure par ailleurs que « même si on avait d’autres vagues, on a toutes les raisons de penser que ce serait des variants moins dangereux ». Espérons-le…
En outre, le ministre de la Santé a indiqué que le pass vaccinal pourrait potentiellement être supprimé en fonction de l’évolution de la situation sanitaire dans le pays. Il affirme qu’il est très probable que le pass vaccinal soit retiré « bien avant le mois de juillet, sauf s’il y avait une mauvaise nouvelle ».
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La menace du variant BA.2
Malgré un avenir qui semble porteur d’espoir, il est toutefois nécessaire rester prudent. Et pour cause, un nouveau variant, appelé BA.2, a fait son apparition dans certains pays du globe. « Beaucoup de questions entourent encore ce sous-variant d’Omicron », a déjà mis en garde Gabriel Attal lors du Conseil des ministres. Déjà majoritaire au Danemark et en Inde, cette nouvelle souche est déjà présente en France, « mais à des niveaux très faibles », précise Santé publique France.
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