Coronavirus : éviter les lieux pollués serait la solution pour ne pas être infecté !
Selon de récentes études, le Coronavirus se développerait plus facilement dans les villes les plus polluées. La qualité de l’air souvent médiocre favoriserait la propagation du virus. Explications.
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Coronavirus et pollution : un lien étroit ?
Des études ont été menées sur le lien entre le Coronavirus et la qualité de l’air. Bien entendu, ce ne sont que les premières enquêtes sur le sujet, rien ne peut donc être avéré à 100%. Toutefois, il a été mis en lumière que le virus aime les endroits pollués.
Ces conditions de vie favorisent les maladies cardio-vasculaires, pulmonaires et participent à l’affaiblissement du système immunitaire. Le virus peut donc facilement en profiter pour se propager. Ce fait permet de confirmer les dangers de la pollution. Avec près de 50 000 morts chaque année, la qualité de l’air doit absolument être améliorée pour le bien-être de la population.
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Le Coronavirus fait baisser la pollution de l’air
Il a également été aperçu que le Coronavirus a des effets positifs (malgré lui) sur la qualité de l’air. Après la Chine, c’est au tour de l’Italie de voir les améliorations après la mise en quarantaine requise pour empêcher la propagation du virus. Les données publiées par l’Agence Spatiale Européenne, permettent de confirmer une baisse drastique de la pollution de l’air et plus particulièrement des émissions de dioxyde d’azote. Cette forme de pollution est liée au trafic routier.
De nombreux cas de figure sont encore à étudier. Par exemple, est-ce que les allergies printanières aggravent le virus ? Ce nouveau mal qui circule dans le monde est à étudier dans son entièreté et rien ne peut encore être affirmé.
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