Coronavirus : fermeture des restaurants, crèches et clubs de sport dans ce département…
Alors que le port du masque est obligatoire depuis le 20 juillet, certaines structures referment une nouvelle fois leurs portes afin d’éviter au maximum une nouvelle vague du virus. Restaurants, clubs de sport et crèches ferment petit à petit dans le Finistère.
Finistère : fermeture de certaines structures pour éviter une nouvelle vague !
Afin d’éviter la propagation du virus et l’arrivée d’une nouvelle vague, dans le Finistère, certaines structures décident de fermer leurs portes. Une décision radicale, mais non sans conséquences. Les clubs de sport, les restaurants et même les crèches ferment donc leurs portes tour à tour. À Plabennec, la maison d’assistants maternels (le MAM aux trésors) a annoncé la fermeture de l’établissement pendant quatorze jours, suite à la découverte d’un cas Covid positif. Toujours à Plabennec, un cas de coronavirus a été confirmé au sein du club de football, fermé depuis. Une situation qui rappelle fortement l’avant-confinement, et qui inquiète les habitants.
Qu’en est-il des restaurants, garderies et centres hospitalier ?
Alors que la France a été à l’arrêt pendant deux mois, les restaurants ont dû attendre un peu plus avant de reprendre l’activité. Aux Glénan, dans le Finistère, certains restaurants sont en attente de résultats après qu’un professionnel de l’archipel des Glénan ait été testé positif au coronavirus, le 17 juillet dernier. Deux restaurants de l’île Saint-Nicolas ont préféré fermer leurs portes. Une situation délicate et incertaine que les patrons ne souhaitent pas, mais qui est parfois préférable. Et il en est de même pour les garderies, qui ferment , pour certaines, leurs portes. « Les cas de Covid recensés ces derniers jours dans le département interviennent après des fêtes de famille ou des fêtes amicales. Ca ne vient pas des touristes, c’est du local » a expliqué le sous-préfet de Brest, Ivan Bouchier. Et à Lesneven, le centre hospitalier a décidé d’interdire de nouveau les visites dans son centre après « une évolution rapide du contexte épidémique » .