Combien de Français font l’amour pendant leur télétravail ? Vous pourriez être étonnés !
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Avec le télétravail et le confinement, il faut trouver une solution pour se vider l’esprit, et s’aérer la tête. Lorsqu’on est au bureau, on peut souvent penser à sa moitié, et au désir sexuel. En télétravail, les Français avouent s’être accordé plus de pauses destinées aux ébats sexuels avec leur conjoint ou leur conjointe, selon un dernier sondage Ifop.
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34% des français se sont déjà accordés une pause sexuelle pendant leurs heures de télétravail
Faire l’amour sur son lieu de travail, c’est excitant, mais déconseillé. Si le patron vous surprend, vous risquez gros… Mais lorsque le travail emménage dans notre domicile, l’envie est plus présente, et les occasions plus fréquentes. Avec la mise en place du télétravail, les Français ont donc pu s’adonner à des plaisirs sexuels pendant leurs heures de télétravail. Selon un dernier sondage Ifop publié le 9 décembre dernier, 34% des salariés qui télétravaillent avouent s’être adonnés à des plaisirs sexuels pendant leurs horaires de travail. Chez les moins de 25 ans, cet aveu monte en flèche, plus 51% d’entre eux se sont déjà accordés quelques minutes de détente avec leur moitié.
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Faire l’amour : le bon remède anti-déprime ?
Beaucoup de citoyens voient la pratique sexuelle comme un remède anti-déprime en temps de confinement. Avec le télétravail, les Français sortent moins, et s’ennuient plus. Mais quoi de mieux qu’une partie de jambes en l’air pour pimenter sa journée de télétravail ? Dans le sondage, l’Ifop révèle que 38% des patrons d’entreprises se sont déjà octroyés une pause sexuelle. C’est un fait, les personnes en couples se sont donc permis de faire une pause dans leurs heures de travail afin de respecter leurs devoirs conjugaux. Mais les célibataires ont, eux aussi, eu plus de rapports sexuel qu’au premier confinement. « 59% des Français confinés seuls mais disposant d’un conjoint ou d’un partenaire sexuel occasionnel admettent avoir retrouvé leur partenaire chez eux ou à leur domicile, soit une proportion quasiment deux fois plus forte qu’au premier confinement » comme l’explique l’Ifop.
« Étude Ifop pour Gleenden réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 24 au 30 novembre 2020 auprès d’un échantillon de 2 017 personnes, représentatif de la population âgée de 18 ans et plus résidant en France métropolitaine. »
